NOUVELLES EROTIQUES Tome 1 (2023-2025)

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1 - La bergère

Je contemple les montagnes des Pyrénées, éblouies par les rayons du soleil qui se découpent à l’horizon, au-dessus des toits du village. Au milieu du marché, je ne peux m’empêcher de suivre du regard la jeune bergère qui se déplace gracieusement entre les étals des marchands. Sa silhouette joyeuse attire mon attention et ne me laisse pas indifférent. Je la contemple attentivement tandis qu’elle sélectionne avec minutie les produits frais sur les étals des marchands. Chaque choix semble être effectué avec un grand soin. Elle s’arrête devant les étalages de fruits, les inspecte. Elle saisit un régime de bananes et en sépare une. Ses doigts délicats suivent les courbes douces du fruit, puis elle la repose pour en sélectionner une autre, répétant ce geste. Elle hésite entre les deux, indécises quant à laquelle choisir : la plus longue, la plus incurvée. Ses lèvres se pincent légèrement tandis qu’elle s’interroge, puis un sourire éclaire son visage lorsqu’elle choisit finalement la plus longue. Elle dépose délicatement la banane dans son panier après l’avoir payée. Mes yeux ne peuvent se détacher d’elle tandis qu’elle avance. Soudain, elle se tourne vers moi et nos regards se croisent, comme si le temps s’était arrêté dans cet instant éphémère. Je fais semblant observer un objet sur un présentoir devant moi. Son regard me fixe et sourit, puis se retourne et poursuit son chemin, son panier rempli de provisions sous son bras, quittant le maché. Je la contemple s’éloigner, sa jupe longue et ample flottant légèrement à chaque pas qu’elle fait dans les rues du village.
Elle s’engage dans la forêt, suivant le sentier qui serpentait jusqu’à la bergerie perchée sur les hauteurs de la colline. Je me dissimulais parmi les arbres, suivant attentivement son avancée à travers la forêt. La lumière du soleil filtrait à travers les feuilles et baignait le sous-bois d’une douce lueur. Je me suis abandonné à un moment de rêverie par ce spectacle, je l’ai perdu de vue sur le chemin. Je poursuis mon aventure pour la retrouver, mais sans succès. Elle a sans doute discrètement quitté le chemin pour retourner à sa bergerie sur les hauteurs de la colline.
Je flâne dans les sous-bois quand soudain, j’entends un gémissement. Serait-ce un animal ? curieux de nature, je me dirige vers ces gémissements. Je me fraye un chemin à travers les broussailles en suivant les gémissements étouffés, mes bras balayant les feuilles et les branches qui se dressent sur mon passage. Et soudain, une lumineuse clairière apparaît, illuminée par les rayons du soleil, éblouissant ma vision. J’entends mieux les gémissements, ils sont très proches. Quand mes yeux s’habituent à nouveau à la lumière, je découvre Angélique, la bergère, confortablement installée sur le sol, adossée à un arbre. Ses paupières sont fermées tandis que ses doigts grattent légèrement le tissu de sa jupe en un geste doux et répétitif. Je m’avance en silence, pour mieux observer Angélique de plus près. On peut constater, à travers son geste, qu’elle se caresse plutôt qu’elle ne se gratte. Ses doigts posés sur sa culotte font des mouvements de va-et-vient. D’où je suis posté, j’aperçois le dessin de sa fente de sa chatte à force de caresses. Soudain, une petite tache apparaît lentement sur le tissu, grandissant progressivement à mesure que je regarde.
Soudain, Angélique tourne son visage vers les rayons du soleil, appréciant la chaleur réconfortante sur sa peau. Puis, elle se lève lentement. Je me dissimule rapidement, pensant qu’elle pourrait m’avoir remarqué. Cependant, elle semble ne pas m’avoir remarqué, elle est debout, levant une jambe, et passe délicatement sa main sous sa jupe, ôte sa culotte, la laisse tomber par terre. Elle se dirige vers son panier, s’accroupit et sort avec soin la banane qu’elle a soigneusement sélectionnée. Elle plonge ensuite sa main dans son sac à la recherche d’un objet, sans que je ne puisse discerner de quoi il s’agit, car il était de petite taille. Elle se redresse et se dirige vers l’arbre, pour finalement se rasseoir dans la même position qu’auparavant. Elle étend ses jambes, la banane posée sur sa jupe. Avec une attention minutieuse, elle examine la banane, puis la saisit délicatement dans sa main et la caresse tendrement. Elle récupère l’objet qu’elle avait sorti de son sac, un petit sachet, le sort de son emballage soigneusement, sans le déchirer ou l’endommager ça s’apparente à un film en plastique souple et elle le place délicatement sur la banane, comme pour le protéger. Elle tient la banane avec une main, soulève sa jupe, relève ses genoux, écarte ces cuisses. Sa position me laisse rêveur, car de là où je suis, je vois très bien sa chatte poilue. Elle la caresse doucement avec l’autre main, puis avance doucement la banane en direction de son vagin, et la pénètre sans trop forcer. Au point de pénétration, son visage se détend. Le va-et-vient des mouvements l’entraine de plus en plus profondément, ce qui lui provoque des spasmes de jouissance. Je le vois à son visage qui s’illumine, à chaque mouvement de sa main, des gémissements s’échappent de sa bouche, formant des syllabes telles que « Oh » et « Ah ». À mesure que le temps passe, son excitation augmente et ses gémissements se font de plus en plus intenses.
Elle retire la banane de sa chatte, l’approche de sa bouche, la lèche, la suce. Mes yeux se figent sur sa chatte grande ouverte ou j’apercevoir dégouliner un liquide blanc. Trop curieux, je veux m’approcher pour mieux observer, mais je fais craquer une branche sous mes pieds. Elle sursaute et se lève.
- « Qui est là ? » elle scrute les environs en inspectant. « Révélez-vous ou je vais crier. » Je me lève et quitte la zone boisée.
- « Ne crie pas, c’est moi, Paul, ».
- « Paul, que fais-tu ici ? M’espionnes-tu ? » Elle me dévisage, me regardant de haut en bas avant de sourire.
- « Euh, oui, non, je..., » je bafouille sans savoir quoi dire.
Elle a remarqué une bosse visible à mon survêtement.
- « Alors petit coquin tu me guettes, approche-toi » elle me fait signe avec son doigt.
Je m’avance lentement vers elle, la tête penchée, comme si j’étais gêné. Elle tient toujours la banane dans sa main, me regarde.
- Et me dit avec un grand sourire : « Je n’ai plus besoin de cet objet » puis la jette par terre.
Elle se rapproche de moi. Je voulais lui adresser la parole, mais elle pose sa main sur ma bouche pour me faire signe de me taire. Elle se met à genoux, attrape mon jogging ainsi que mon boxer par ses deux mains, les tire vers le bas ce qui laisse surgir ma verge en érection, qu’elle n’hésite pas à les englobés dans sa bouche. Je suis surpris, je n’ai jamais vécu une telle expérience auparavant. Ressentir les pressions douces puis fortes de ces lèvres, qui sucent ma verge, c’est trop bon, je suis sur un nuage. Les effets cumulés de la salive qui lubrifie, les mouvements de va et viens de sa bouche sur ma queue. Mmm, que c’est bon, quel régal. Quand ces lèvres me caressent le frein, puis la couronne. Mmm, une autre sensation de plaisirs intense. Mais c’est surtout le moment quand elle absorbe complètement ma verge au plus profond de sa gorge, l’activation de toutes mes zones sensibles qui me font intensément jouir.
Au bout d’un moment, d’une éternité pour moi. Elle s’arrête sans dire un mot, se redresse et me regarde dans les yeux. Son visage est si joli lorsqu’elle sourit et elle est si joviale. Elle recule de quelques pas, enlève sa jupe et la dépose délicatement sur le sol, puis s’assied dessus, écarte c’est cuisse et me dit « à toi ». Je la contemple, interloqué, sans comprendre ses intentions. Elle perçoit mon trouble à travers mon expression de coincer et réalise rapidement que je suis novice dans ce genre de situation.
- « Tu es vierge », dit-elle avec un grand sourire
- « Non je suis du signe gémeau »
- Elle éclata de rire, « mais non que tu es bête, sexuellement je veux dire »
Je la dévisage, captivé par son charme. Je ne comprends pas ses intentions, mais elle tend sa main en signe d’invitation pour que je la rejoigne sur l’herbe. Elle pose sa main sur ma nuque et rapproche ma tête entre ces cuisses et me dit d’un ton sec avec humour « lèche-moi ma chatte ». Je prends une grande respiration et avance ma bouche, sort ma langue et lui lèche les poils pubis ainsi que sa chatte a grand coup de langue. Je recule ma tête pour prendre ma respiration.
- « Attends » me dit-elle
Elle se pince doucement les grosses lèvres avec ces doigts, les étire un peu, pour les rabattre. Mes yeux s’écarquillent en découvrant la chair rose de son orifice vaginal.
- « Approche ta langue et introduis-la à l’intérieur »
J’exécute la manœuvre. Ma langue glisse sur le contour rose de l’orifice et par a coup pénètre à l’intérieure, je répète plusieurs fois l’opération. Quand ma langue glisse dans la paroi intérieure, je ressens l’humidité de la paroi visqueuse de son vagin. Je remonte ma langue doucement, le long des lèvres et lèche le petit bout de chair à l’extrémité de sa chatte, elle gémit d’excitation.
- « Oui continue, Humm c’est bon, refait moi ça » d’un ton insistant.
Ma langue redescend lécher les contours de son orifice et replonge à l’intérieur de son vagin. Je tire au maximum ma langue, pour accentuer les effets. Après plusieurs suites du mouvement, je remonte le long des lèvres pour finir sur ce bout de chair qui dès que je le touche, cela m’excite et lui fait des palpitations dans tous sont corps. Je décide de m’attarder sur ce point, qui m’intrigue et qui m’attire, car à chaque coup de langue je sens qu’il durcit.
- « Enlève tes habits et pose-les par terre pour que l’on se couche dessus »
Je me lève, elle fit la même chose, on se déshabille, je les pose par terre, on se couche l’un à côté de l’autre, j’avais devant mes yeux éblouis, sa petite poitrine, de belles poires qui ne demande qu’à être cueillis par mes mains.
- « Prends-les, et caresse-les », me dit-elle
- J’hésite, je ne sais pas comment faire, je bafouille « heu, je peux …. Comment …»
Elle sourit, prends mes deux mains et les poses sur sa poitrine les maintiens et les fait tournoyer autour de ses seins. Je les palpe, les caresses, tout naturellement ma bouche, est attirées par ses deux bouts dépassant de la pointe de ces seins. Je les lèche, tout en continuant mes caresses. Sa peau et si douce, je ressens ces tetons se durcir et pointé. Elle ne résiste pas à mes coups de langue, elle apprécie ça. Alors je continue. Pendant que je suis en train me délecter sur sa poitrine, sa main me caresse les côtes et descend pour saisir ma verge qu’elle caresse doucement, elle me masturbe par de petits mouvements.
On s’entrelace, nos corps se collent comme des sangsues, nos lèvres se cherchent et se trouvent dans un baiser passionné, elle glisse sa langue dans ma bouche au début je trouvais cela un peu gênant, mais cela ma exciter, alors je décide de faire la même chose, et elle adore ça. Je l’embrasse dans le cou, la poitrine, puis lui suce un téton. Je laisse glisser ma langue au gré des courbes de sa poitrine, lui lèche l’aisselle sans faire attention, cela la chatouille, la fait rigoler, je continue ma descente le long de ces hanches, je sens à travers les capteurs de ma langue, sa chair de poule, du aux frissons qu’a occasionnées le contact sur cette zone sensible de son corps.
- « Attends » me dit-elle, « ferme les yeux, tu vas aimer »
Elle m’allonge sur le dos, je ferme les yeux. Je sens ces tétons me raser mon corps, puis mon ventre. Ces pieds ou ces genoux me toucher ma tête. Je reste comme ça je ne bouge plus. Elle commence à me caresser mes jambes, puis soudain je sens qu’elle englobe ma verge dans sa bouche et me suce.
- « Vas-y ouvre tes yeux », me dit-elle entre deux bouchers.
J’ouvre mes yeux, j’admire le spectacle face à moi, à bout de nez sa chatte, a porté de ma langue, elle baise son bassin, je ferme les yeux, mon nez se retrouve entre ces fesses et ma bouche en contact de sa chatte poilue. Je sors ma langue et commence à lui lécher sa chatte. Avec mes mains je lui caresse ses fesses, je devine la forme géométrique de ses fesses rondes, sa peau est si ferme, que la paume de mes mains glisse sur leur courbe. J’ouvre mes yeux, suivant le mouvement de mes caresses, j’aperçois son anus dans la rainure de son fessier. Je laisse glisser un de mes doigts entre ces fesses qui frôle l’orifice anal. À chaque approche de cette zone elle me mordille ma verge, que veut dire se message, dois-je arrêter ou continue sur cette partie. Je décide de placer ma langue dans la rainure anale, et de le la lui lécher, à chaque passage de ma langue, je ressens un soupçon de plaisir de sa part, alors je décide de l’introduire dans son orifice anal, à ce moment elle gémit de plaisirs, sans me mordiller ma verge. Avec mes deux mains, j’écarte bien ces fesses, pour introduire plus profondément ma langue. Elle bouge son bassin vers le bas, pour accentuer la pénétration de ma langue qui pénètre plus profondément dans son Q. Elle rebouge son bassin pour que je m’occupe de sa chatte, que je lui lèche abondamment. Elle me re mordille ma verge, alors je comprends qu’elle veut aussi que je m’occupe de l’autre partie. Je déplace mon doigt au niveau de son orifice anal. Avec mon doigt je fais des ronds autour de son anus, je sens des contractions à chaque passage. Et je lui insère le doigt dans son anus. Au début un peu réticent, au passage de mon doigt, elle hésite, mais abaisse son bassin par de petits coups vers le bas pour que la pénétration anale soit plus profonde et accentue-les va et viens de son bassin.
Je sens l’éjaculation monter en moi, je la tapote sur le dos, la pousse doucement, elle comprend ce qui se passe alors on change de position, elle se met sur le dos écarte c’est cuisse, les lèvres de sa chatte s’ouvrent timidement, dévoilant toute la beauté de sa vulve, comme les pétales d’une fleur qui se déploient au lever du jour. Elle est si radieuse, allongée dans la nature, dans ce sous-bois, elle est prête à m’accueillir en elle. Je m’allonge sur elle, j’avance mon bassin. Ma queue frétille d’excitation, qui tapote son corps a la recherche de l’entrée de son vagin, puis d’un coup de rein je lui enfonce ma verge dans sa fente vaginale. Au moment de l’introduction elle s’extase de plaisirs et les va et viens de mon bassin accentue son plaisir ainsi que le mien. Je ressens mille et une sensations sur ma queue entrain de glisser à l’intérieure d’elle. Son corps se contorsionne dans tous les sens, à chaque mouvement. Je ressens les parois internes de plus en plus glissantes, surement dues à ces sécrétassions vaginale, sans compter le lubrifiant que ma verge libère de temps en temps. La sensibilité au bout de ma verge augmente lors des frottements, ma respiration s’accélère, mon cœur palpite. Ces moments d’extase se synchronisent de plus en plus, nous sommes en phase. À chaque petit cri venant de sa bouche, j’ai envie de jouir, mais je retiens la pression en moi pour faire durer le plaisir.
- « Oh oui baise moi », crie-t-elle, en se pinçant les tétons
- « ahhrrrrggg » en essayant de garder la pression
Mais je ne peux plus me retenir, plus longtemps, c’est trop dur, j’en peux plus, je ferme les yeux pour me concentrer. Je reprends ma respiration et essaye de garder le rythme. Elle se tient la poitrine tellement que les secousses sont fortes. On se regarde mutuellement droit dans les yeux, ces pupilles brillent de mille feux, nous sommes en extases. Je continue les mouvements de mon bassin. J’ai une sensation de glissement facile et fluide, sans frottements excessifs dus aux sécrétassions vaginale. Elle mouille abondamment.
Elle cri de plaisirs, son visage et resplendissant quand elle jouit. Je vois au fond de ses yeux son extase. Mon corps et brulant de sensation, mes seins pointent tellement droit que j’ai mal, mais de plaisirs. Je ne peux plus me retenir, ma queue est sur le point d’exploser. J’abandonne ma résistance, je me lâche. Je ressens le parcours de mon sperme se propager dans mon canal de l’urètre. Et là au moment culminant de sa jouissance, j’éjacule par un jet qui se déverse, comme une cascade paradisiaque au fonds de son vagin. Je vois par son visage et les spasmes de son ventre qu’elle était soulagée que ce soit enfin fini, car elle n’en pouvait plus, le plaisir était tellement intense, comme un bouquet final d’un feu d’artifice.
Mes bourses se sont vidées en elle, ma verge est encore en érection, je reste quelque minute sur elle, le temps que ma queue se ramollit. Je la regarde, puis on s’embrasse. Je me lève doucement. Elle reste encore couchée pour apprécier ce moment. Je me mets assis pas loin d’elle, pour reprendre un peu d’énergie. Elle a toujours les jambes écartées. Je baisse les yeux sur son sexe, qui dégouline de mon sperme et de son fluide vaginal. Une grosse giclée sort de son vagin dû aux dernières contractions musculaires. Elle me tend un mouchoir tout en souriant. Je le prends, écarte ces lèvres et lui essuie son vagin en souriant.
- « Tu souris, pourquoi ? » en me regardant d’une aire coquine
- Je lève ma tête, la regarde dans les yeux « c’est la première fois, et je trouve ta chatte si belle »
- Elle sourit et dit en soupirant « Humm que c’était bon »
- Je me couche à côté d’elle. Je lui prends sa main et lui dis « je n’ai jamais ressenti autant de sensations dans ma vie, tu es l’étincelle de ma vie ».
Nous sommes là, dans cette clairière main dans la main excitée, mais fatiguée comme si on avait couru un marathon, savourant le calme et la paix qui y règne. Le doux bruissement des feuilles et le chant des oiseaux nous enveloppent et nous apaisent.
- Elle se tourne vers moi me fait un bisou sur la bouche et me dit « C’est n’est pas tout, mais j’ai des bêtes à aller nourrir »
Elle se lève, les jambes écartées.
- « Mince » une larve de sperme coulait sur sa jambe.
Je me mets accroupie, cherche un mouchoir et essuie l’antre jambes. Je ramasse sa culotte lui tend avec mon index, rien que ce geste me fait des picotements dans mon corps, nous sommes encore sous l’ivresse du moment. Enfin je ramasse mes vêtements, me lève pour me rhabiller.
- « Attends » dit-elle
Je la regarde d’un air étonner. Elle se mit à genou.
- Embrasse ma queue en repos et lui parle « Merci pour ce merveilleux moment »
À cet instant une petite goutte sort de mon urètre, avec le bout de sa langue la lèche. Elle se lève, cherche son T-shirt et l’enfile. Je suis resté immobile depuis qu’elle s’est levée. Mon esprit est encore dans les nuages. Elle me regarde.
- Rigole et dis : « Allez, habille-toi, j’ai juste fait un bisou. »
J’enfile mon boxer, ainsi que mon jogging. Je l’aide à ramasser ces affaires éparpillées par terre.
- Je ramasse la banane, la regarde et lui dis « on en fait quoi de ça ? »
- Elle me regarde « jette-le, j’en ai plus besoin, j’ai mieux » en éclatant de rire.
J’éclate aussi de rire, j’enlève le préservatif et jette la banane dans la nature. Je m’approche d’elle, l’entoure de mes bras et l’embrasse dans le cou.
- Sans me repousser, elle me dit à l’oreille « doucement, je suis marié »
- Je lui dis « Je ne connais pas ton prénom »
- « Angélique »
- Et lui murmure « Tu es si douce, tu es un ange »
On s’embrasse une dernière fois. Nous finissons de ramasser nos affaires et sortons main dans la main du sous-bois. Arrivée sur le chemin de la forêt, elle lâche ma main et marche en direction de la bergerie. Je la regarde avancer, mais elle ne se retourne pas et continue dans sa direction. Je reste planté sur le chemin, espérant qu’elle fera un signe de sa part. Mais rien ne se passe, elle disparaît au loin.
Perdu dans mes pensées, je m’apprête à me retourner pour prendre la direction opposée et retourner aux villages. C’est alors que je vois au loin une silhouette qui me fait des gestes et m’envoie un bisou de ces mains. Je comprends alors que cette aventure n’est que le début. Sa silhouette disparaît. Je marche sur le chemin pour retourner aux villages.

Découvrez "La Bergère", nouvelle érotique de JeanLouis M issue du recueil Tome 1. Une rencontre sensuelle au marché des Pyrénées, entre désir, émotion et fantasme. Littérature érotique française – sensualité, plaisir, écriture raffinée et réaliste. nouvelle érotique, JeanLouis M, recueil nouvelles érotiques, fantasme sensuel, écriture érotique française adulte, marché des Pyrénées scène érotique, désir et tentation récit court, fiction érotique adulte, sensualité intime nouvelle, conte érotique moderne