NOUVELLES EROTIQUES Tome 1 (2023-2025)

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2 - Danse jusqu'à la fin de la nuit

Je suis actuellement en proie à une situation financière difficile en raison de l'inflation. Malgré mes efforts pour gagner de l'argent, mes fins de mois sont toujours difficiles à boucler. Mes économies sont épuisées et je suis constamment en train de jongler avec les factures. La pression financière est devenue insoutenable et je me sens constamment stressé.
En outre, j'ai également un problème avec ma vie sociale. J'ai une forte dépendance sexuelle, ce qui m'a causé des problèmes dans mes relations amoureuses passées. Mes ex-partenaires ont souvent critiqué ma tendance à me concentrer davantage sur mes besoins sexuels que sur notre relation. Cette tendance m'a finalement conduit à une vie sociale insatisfaisante et à une vie sexuelle instable.
Cependant, j'ai finalement trouvé un moyen de combiner mes besoins financiers et sexuels. J'ai commencé à fréquenter les cercles de danse pour côtoyer des femmes bourgeoises avec qui je pourrais avoir une relation amicale et plus si affinités. Leur statut social élevé me donne l'occasion de m'assurer un certain niveau de stabilité financière, tout en me permettant de satisfaire mes désirs sexuels.
Malgré mes efforts pour trouver une femme qui serait intéressée par une relation mutuellement bénéfique, je me heurte à une série de refus. Elles sont souvent méfiantes quant à mes intentions, craignant que je ne cherche qu'à les exploiter financièrement. Je me sens coincé dans un cercle vicieux : j'ai besoin d'argent pour offrir un certain niveau de confort et d'expériences à mes prétendantes, mais sans leur intérêt, je ne peux pas gagner de l'argent.
Déçu par mes échecs avec les femmes mures, je me tourne vers des femmes beaucoup plus âgées que moi, des « séniors cougars ». Bien que cela puisse sembler être une solution temporaire à mes problèmes financiers, j'ai des doutes. Je me demande si je suis prêt à sacrifier mes principes, si cette approche est éthique. Je crains surtout le regard des autres. Je n’ai pas le choix il faut que j’avance, je n’aurais pas de retraite, car pas assez travailler, je n’ai pas de bien, je risque de basculer dans une vie très précaire.
Je me lance à nouveau. Je cherche sur les réseaux sociaux et internet un dancing que je n’ai jamais fréquenté. Après avoir parcouru des centaines de pages de recherche, je tombe enfin sur une page qui attire mon attention avec son accroche prometteuse : « Plongez dans l'ambiance effervescente de mère Nature au cœur d'un dancing en pleine nature, niché dans une forêt légendaire pleine de vibration positive. Venez vivre une expérience de danse authentique dans un lieu chargé d'histoire et d'émotions. Notre établissement offre un décor à la fois rustique et glamour, plongeant les danseurs et danseuses dans une atmosphère intimiste propice aux rencontres ». Intrigué par cette introduction, je décide finalement de me rendre à ce fameux dancing, impatient de découvrir le lieu, et qui sait, peut-être même rencontrer de nouvelles personnes enivrantes.
Pour m'y rendre, je prends un taxi, il a du mal à trouver l'endroit, le GPS ne l’indique pas. Nous traversons de longues forêts sombres, le ciel est obscurci par les arbres touffus et les branches s'étendent telles des doigts griffus dans le ciel. À force de tourner en ronds, finalement, nous voyons un panneau indicateur qui indique le chemin pour se rendre au dancing. Cependant, le chemin est étroit et caillouteux, et le taxi refuse de s'aventurer plus loin. Il me dépose donc au croisement de la route, me laissant seul dans l’obscurité.
Au fur et à mesure que j’avance sur ce chemin caillouteux, j'entends des bruits étranges et mystérieux provenant des profondeurs de la forêt, comme des chuchotements ou des soupirs. Je commence à angoisser seul dans cette obscurité. Après un moment de marche, j'aperçois enfin une enseigne brillante dans la nuit, qui annonce l'entrée d'un établissement. En m'approchant, j'observe que le bâtiment a l'air ancien et mystérieux, avec des pierres apparentes et des fenêtres étroites.
Je me dirige vers un grand et costaud portier qui se tient à l’entrée, ainsi que je remarque des inscriptions énigmatiques gravées sur les murs en pierre. Le portier me regarde d'un air méfiant, mais je lui tends un billet de vingt euros pour l'entrée. Il saisit un tampon et me tamponne ma main d'un sceau étrange. Il m’ouvre la porte pour entrer dans le dancing. Le bâtiment est également impressionnant de l'intérieur, avec des murs en pierre apparente et des poutres en bois massif. Les lumières tamisées ajoutent une atmosphère chaleureuse et intimiste, tandis que la piste de danse centrale attire mon regard.
Une dizaine de couples s'épanouissaient déjà sur la piste de danse, virevoltant dans un envoûtement musical. Les murs du dancing en pierre étaient incrustés d'inscriptions inconnues, comme si elles avaient été gravées par des anciens. Les chaises étaient disposées autour de la piste, toutes vides, car tout le monde était sur la piste. Au bout de la salle, la lumière était plus faible, créant une atmosphère encore plus mystérieuse et envoûtante. J'ai remarqué une personne assise sur la dernière rangée de chaises, seule dans l'obscurité. Intrigué, je me suis dirigé vers elle, en espérant peut-être entamer une conversation ou partager une danse.
Elle était seule, assise sur le banc réservé aux danseuses dont personne ne voulait. Malgré cela, elle ne pouvait s'empêcher de bouger ses pieds au rythme de la musique. La pénombre qui régnait au fond de la salle rendait son visage difficile à distinguer, mais je me suis approché de sa chaise, déterminé à l'inviter à danser. J'ai tendu ma main vers elle et j'ai senti une main fine et froide avec de longs ongles noirs se poser dans ma paume. Sans dire un mot, elle s'est levée et m'a suivi sur la piste de danse.
On s'approche de la piste et j'aperçois enfin son visage. Sous la lumière, je peux voir une vieille femme ridée, avec des yeux sombres et enfoncés dans leurs orbites. Son sourire dévoile une dentition désolante, presque édentée. Seules quelques dents noircies et déformées s’accrochent encore à leurs gencives, donnant l’impression qu’elles pourraient s’effondrer à tout moment. Leur aspect négligé témoigne d’un manque d’entretien évident, comme si la personne avait abandonné toute tentative de soin dentaire depuis longtemps. La forme déformée de son nez met en évidence les irrégularités de son visage, créant une asymétrie qui attire l’attention et ajoute une dimension intrigante à son apparence. Sa peau de visage est parsemée de boutons et de points noirs, accentuant l’apparence flétrie et parcheminée qui laisse croire qu’elle a passé des années dans l’obscurité de cette salle de danse. Je suis momentanément horrifié, presque repoussé par la vue de cette femme, mais je me rappelle vite ma politesse et ma mission, alors je ne lâche pas sa main pour danser. Elle avait senti se relâchement et cette reprise de main, elle le regarda dans les yeux, me sourit de nouveau, cette fois-ci avec une expression de gratitude et de soulagement, en serrant ma main dans la sienne.
— « Merci » me dit-elle d’une voix rauque.
Je regarde autour de moi et constate que tous les couples sont sur la piste de danse. Toutes les chaises sont vides. Si je veux espérer une chance de conclure ce soir, je n'ai pas d'autre choix que de conclure avec ma cavalière. Lorsqu’elle m’a tendu son bras, j'ai pu remarquer sa montre et son bracelet de marque de luxe. Je me suis dit qu'elle avait peut-être un certain potentiel. Mais j’ai un sentiment qu’elle est différente des autres femmes. Elle est répugnante, mais quelque chose d'étrange et de mystérieux émane d'elle. Je me sens à la fois attiré et repoussé par sa présence, comme si elle avait quelque chose d'indéfinissable qui me met mal à l'aise, mais qui m’absorbe.
Je fais taire ma fierté et je m'élance avec elle sur la piste de danse. Elle est grande et imposante pour une personne âgée, vêtue d'une robe noire élégante. Nous dansons sur une valse, étant un piètre danseur, je suis sûr d'avoir marché plusieurs fois sur ses pieds. Elle ne dit rien, juste des sourires. Lorsque la musique s'arrête, je ne peux la regarder droit dans les yeux. Alors je baisse ma tête vers le bas, j’observe ces pieds chaussés de baskets noirs qui sont aussi grands que les miens, bien que je chausse du quarante-quatre. Cela m’a fait sourire.
Une nouvelle musique s'élève doucement, une mélodie douce et romantique, je reconnais un slow. Elle me prend les mains et les pose sur ses hanches, j'hésite de traque un instant, mais me laisse finalement guider. Nous nous collâmes l'un à l'autre, et on commence à danser. Elle pose sa tête sur mon épaule, ses mains caressant mes bras. Je pouvais sentir sa respiration lente et irrégulière sur ma peau. Nous tournons lentement, nos corps se balançant doucement au son de la mélodie. Cependant, je me sens tendu et maladroit, ce qui se reflète dans mes mouvements hésitants. Finalement, elle décolle sa tête de mon épaule.
— Elle me chuchota à l'oreille, de sa voix rauque et faible : « Détends-toi, soit relaxe »
Me regarde droit dans les yeux. Avec un sourire bienveillant, elle me guide dans un mouvement de danse plus simple et plus fluide. Je me sens plus détendu, plus à l'aise et nos pas deviennent plus assurés. Nous continuons à danser, bercés par la musique romantique, et je me sens de plus en plus en harmonie avec elle malgré son physique. Je suis tellement pris dans la danse que j'ai l'impression d'être envoûté.
Pendant la danse, elle prend mes mains des hanches pour les poser sur son postérieur, ajustant leur position avec précaution. Je suis tétanisé au toucher, elle était plate sans volume. Je sens la texture de sa peau ridée sous le tissu et je réalise qu'elle a des os saillants sous sa robe. Elle repose sa tête sur mon épaule, son souffle chaud contre ma nuque. C'est à la fois étrange et intimidant de danser avec elle, mais je me laisse emporter par la musique et les effluves qu'elle dégage. Je finis par me détendre un peu, comme si j'étais ensorcelé.
Sans m’en rendre compte, mes mains crispées par la tension se sont mises à caresser involontairement ses fesses au rythme des mouvements de ces hanches.
— « Humm, j'aime quand tu me touches comme ça », chuchote-t-elle. De sa voix douce et suave, presque sensuelle.
Je sens son souffle chaud contre mon oreille et je frissonne légèrement. Malgré sa remarque, je me sens un peu mal à l'aise, comme si j'étais en train de faire quelque chose de mal. J'essaie de bouger mes mains pour les enlever.
— « Non, ne t'arrête pas », murmure-t-elle en souriant.
Je me sens à la fois gêné et excité, je ne sais pas comment réagir. Finalement, je décide de me laisser emporter par le moment et de continuer à danser avec elle.
Je me retrouve submergé par un mélange de sensations, entre l'effet du tissu fin qui la recouvre et la texture de sa peau ridée que je perçois sous mes doigts. Elle m'agrippe fermement les poignets et guide mes mains de manière circulaire vers ses hanches, puis vers le haut de son dos. La musique nous enveloppe et je sens son corps onduler au rythme de la danse. Les bourrelets crépis de son corps sont palpables sous le tissu et témoignent des effets du temps. Danser avec elle est une expérience étrange, mais je me laisse entraîner par la musique et les mouvements de son corps.
Elle se rapproche de moi, sa poitrine effleure mon torse et je sens son cœur battre rapidement. Elle m'embrasse délicatement dans le cou, un frisson parcourt mon corps. Je perçois des pointes se former au niveau de sa poitrine sous son soutien-gorge, sans oser la toucher. Je remarque des piercings sur ses tétons. Nos corps se pressent l'un contre l'autre. Sous ma chemise blanche, je sens une chaleur monter en moi. Mes pensées s'embrasent et je crains de ne pas être le seul à ressentir ces sensations électrisantes. Je crains bien que ce ne soit pas seulement nos tétons qui durcissent, car ce contact sensuel a un effet sur moi.
Elle reste toujours enlacée et glisse ses mains sur ma hanche, se rapprochant de mes fesses qu'elle caresse délicatement. Elle remonte ses mains le long de mes hanches et effleure mon ventre avant de s'attarder sur ma poitrine. Ses doigts frôlent mes tétons, qui durcissent instantanément sous son toucher. Elle se détache de mon épaule, me fixe dans les yeux et approche ses lèvres des miennes, m'embrassant tout en caressant ma poitrine. Mes tétons pointent tellement que j'en ressens une douleur plaisante. Elle comprend mon désir et défait les boutons de ma chemise pour mettre à nu ma poitrine. Sa langue avance sur un de mes tétons et le lèche, puis le suce avec une douceur exquise.
Je continue de la serrer contre moi, plus elle me procure du plaisir, plus je la serre. Et elle a bien compris ce que je ressens. Avec sa main libre, elle agrippe la bosse de mon pantalon et ressent mon érection au toucher. Je ne résiste pas à ses avances, je retrouve de belles sensations lorsqu’elle me fait ça. Je continue de la serrer contre moi, tandis qu'elle me caresse. Je lève ma tête pour observer autour de nous, les autres danseurs sont concentrés sur leur partenaire et ne nous regardent pas. Soudain, je sens sa main froide se glisser dans mon slip et caresser ma verge. Je suis un peu surpris, mais quand je vois ses yeux briller et son sourire, j'oublie rapidement mes doutes. Elle sort sa langue et la fait tournoyer, un appel à plus de sensualité. Cependant, je suis dérangé par les aspects de son visage martelé par le temps. Elle remarque mon hésitation et pose une de mes mains sur sa joue. J'essaie de la caresser, mais les rides, les crevasses, les tâches me découragent un peu. Je me dis que j'ai besoin de me lancer dans cette conquête qui peut être bénéfique pour moi et je décide de jouer le jeu. Je caresse son visage et son cou rugueux du bout des doigts avant de prendre son visage entre mes mains et de l'embrasser langoureusement. Ma langue explore les contours de sa bouche et je sens sa bouche s'ouvrir largement. Je prolonge notre baiser en faisant glisser ma langue entre les espaces vides de sa dentition négligée. Les sensations sont tellement intenses que je suis transporté dans un état extatique de plaisir.
Soudain, ma ceinture se défait et mon pantalon glisse à mes pieds en rythme avec la danse. Je me retrouve en sous-vêtements, pris au dépourvu. Je sens l'envie de m'éloigner, mais ses mains fermes rattrapent ma tête pour la maintenir près de la sienne, nos lèvres se collent alors passionnément, nos langues s'entrelacent avec ardeur.
Ouf je peux respirer elle m’a redonnée la liberté de mouvement en séparant nos bouches, je respire enfin, maintenant que je suis libre de mes mouvements. Je me penche pour remettre mon pantalon en place. En me redressant, je regarde autour de moi et observe les autres couples de danseurs. Personne ne semble avoir remarqué mon petit incident, ils continuent de danser sans interruption. Je les trouve étranges, comme s'ils étaient hypnotisés, tournant sans cesse autour de nous. C'est alors que je me rends compte que c'est la même chanson qui passe en boucle depuis un bon moment.
Une fois que j'ai remis mon pantalon, elle prend ma main et me tire vers la sortie.
— « Vient mon coquin », me dit-elle en tirant sur mon bras.
— « On va où ? », je demande.
— « J'ai une chaumière pas loin », répond-elle.
Nous marchons dans le sous-bois éclairé par la lumière argentée de la pleine lune, et au loin j’aperçois le contour d’une cabane, baignée dans cette lumière douce et mystique. Nous sommes arrivés devant une petite chaumière en bois. Elle était charmante avec ses murs en bois rustique et son toit en chaume. À travers les fenêtres, je pouvais voir des lumières tamisées et des rideaux en dentelle. C'était un petit coin de nature caché dans la forêt.
— « Bienvenue chez moi », déclare-t-elle avec un sourire.
Elle passe en première dans l'entrée de la cabane, je la suis et nous entrons dans une grande pièce principale. L’intérieur de la cabane est rustique, mais confortable. Les murs en bois brut sont décorés d'étagères remplies de livres et de bibelots, tandis que le sol est recouvert d'un tapis en peau de bête. Le mobilier est simple, mais bien choisi, offrant un confort minimaliste, mais efficace. Le coin cuisine est équipé d'un petit réfrigérateur et d'une cuisinière à gaz, tandis que le salon dispose d’un canapé et quelques fauteuils confortables autour de la cheminée, créant un endroit parfait pour se détendre. La luminosité de la pièce me permet de mieux l'observer.
Elle tourne sur elle-même, bercée par la mélodie de la musique encore dans sa tête. Soudainement, elle s'immobilise en me voyant l'observer et reste figée. Son visage est marqué par les années qui ont passé, avec des rides profondes et des sourcils touffus qui encadrent ses yeux sombres. Son corps, très mince et osseux, est enveloppé dans une belle robe noire aux motifs floraux fanés. Ses épaules sont légèrement voûtées, comme si le poids des années avait finalement eu raison d'elle. Ses longs bras flasques pendent le long de son corps, sa peau ridée et tachetée témoigne de nombreuses années passées sous le soleil ardent. Ses mains sont délicates, mais les veines et les os saillants rappellent qu'elle est une personne âgée.
Mais c'est sa poitrine qui attire mon attention. Les lignes de son soutien-gorge sous la robe laissent deviner une forme charmante de sa poitrine. Malgré son apparence fragile, il y a quelque chose en elle qui respire de la force et du mystère. Peut-être est-ce dans la façon dont elle se tient, droite malgré sa posture légèrement voûtée. Ou peut-être est-ce dans son regard, profond et pénétrant, qui semble avoir vu et vécu tant de choses au fil des ans. En tout cas, cette femme âgée dégage une aura qui m'inspire le respect.
— « Prends place », dit-elle en tirant une chaise de la table de la cuisine.
Je prends place et pose mes coudes sur la table. Tout en la fixant.
— « Tu n’es pas très bavard », remarque-t-elle.
Elle se dirige d’un pas déterminé vers le placard, un sourire malicieux sur les lèvres. Elle en sort deux verres taillés à la main et une bouteille mystérieuse. Je remarque immédiatement que l’étiquette est recouverte de symboles étranges, dessinés à la main et semblant presque s’animer sous mes yeux.
— « Tu vas goûter à mon eau-de-vie spéciale », dit-elle avec un clin d’œil. « Elle contient des ingrédients que j’ai cueillis dans les champs et la forêt aux alentours. »
Je suis à la fois intrigué et un peu effrayé par cette description, mais je me laisse convaincre par le sourire malicieux de la belle. Elle ouvre la bouteille et verse le liquide ambré dans les verres, le parfum enivrant remplissant la pièce.
Elle se sert également un verre bien rempli et le porte à son coude, attendant de moi que je trinque avec elle. Je lève mon verre et le fais tinter délicatement contre le sien, dans un geste d’invitation à trinquer ensemble. Elle boit son verre d'un seul coup sec, avalant le contenue avec une aisance qui trahit une certaine habitude de la boisson. Pendant qu’elle avale plusieurs gorgées, j’observe son cou ridé. À mon tour je vide le verre. À la première gorgée et ressens immédiatement un frisson parcourir mon corps. La saveur est exquise, avec une touche de vanille, de cannelle et quelque chose d’indéfinissable, qui me transporte dans un autre monde. Les ingrédients mystérieux qu’elle a cueillis dans les champs et la forêt aux alentours ajoutent une note envoûtante à cette eau-de-vie.
Elle repose son verre brusquement sur la table, faisant un bruit sec, et se dirige vers la radio.
Elle cherche une chaîne de musique, le haut-parleur crépite une douce mélodie. Elle se laisse emporter par la musique et commence à danser avec grâce et légèreté. Ses mouvements ne sont pas toujours fluides et harmonieux, mais elle s'en fiche. Elle lève ses bras flasques en l'air et tourne sur elle-même, comme si elle était une ballerine dans un spectacle de danse. Elle sourit et ferme les yeux, se laissant emporter par la musique qui remplit la pièce. Sa robe virevolte autour d'elle, révélant brièvement ses jambes minces et osseuses, ridées et pleines de varices. Elle semble être dans un monde à part, où seules la musique et la danse comptent. Son visage s'illumine et elle paraît plus jeune, plus libre, plus vivante. Je la regarde avec admiration, fasciné par sa laideur en mouvement qui laisse échapper des moments de beauté et de grâce éphémères.
Elle s'approche doucement de moi par-derrière, glissant ses mains rugueuses sur mon cou et ma nuque, puis les laissant lentement glisser sous ma chemise par le haut de ma poitrine. Ces caresses sont fermes et sensuelles, et je sens mon corps frissonner sous son toucher. Ses mains continuent de m'explorer doucement, comme si elle cherchait à comprendre chaque courbe et chaque relief de mon corps. Je me sens vulnérable et à la fois excité, comme si elle avait trouvé un moyen de me lire à livre ouvert. Son souffle chaud caresse ma nuque, me donnant des frissons dans le dos. Je me laisse aller, me laissant emporter par la douceur de ses gestes et le parfum envoûtant de son corps.
Ses doigts caressent mes tétons, elle n'hésite pas à les pincer. Ça me fait mal, mais cette douleur est jouissive. Elle continue les caresses, les pinces, puis je sens son souffle dans mon cou et elle m'embrasse. Je sens ses lèvres sur mes veines jugulaires. C'est une sensation bizarre, comme si un vampire cherchait à assouvir sa soif de sang et cherchait une veine prête à éclater dans sa bouche. Mais en ce moment, c'est plutôt la pression de mes tétons qui risque d'éclater si je ne fais rien.
Je me lève, défais ma chemise, mon ventre et ma poitrine à l'air. J'attrape ses mains et les entoure autour de ma taille sur ma peau nue. Je fais de même avec mes mains et les entrelace autour de son corps, alors que nos bouches s'unissent dans un baiser passionné. Je suis électrisé par les caresses qui accentuent notre plaisir et je me laisse emporter par cette vague de sensations qui m'envahit. Elle délaisse ma bouche pour pencher sa tête et me sucer le téton. Je trouve ses lèvres et sa langue si douces au contact de ce bout de chair dur. J’ai toujours eu une sensibilité accrue de mes tétons quand ils sont bien stimulés, cela me procure une sensation intense. Au point que j'ai l'impression qu'un jet va jaillir tellement qu’ils sont gonflés et durs, mais cela n'arrive jamais. Alors, je souffre de douleurs comme une envie d'éjaculer qui n'arrive jamais.
On se regarde dans les yeux, et je lui transmets un sourire de gratitude pour les plaisirs qu'elle me procure. Je sens sa main rugueuse défaire ma ceinture, et mon pantalon glisse lentement le long de mes jambes. Une fois libéré, je me retrouve en boxer devant elle, excité et gêné à la fois de découvrir la suite. Je suis prêt à laisser cette femme plus âgée prendre les commandes de mon corps et me faire découvrir des plaisirs insoupçonnés. Je la sens s'approcher de moi, son souffle chaud sur ma peau dévêtue me donne des frissons. Elle commence à caresser mon torse, en descendant vers mon ventre et me fait languir en évitant soigneusement la zone la plus sensible pour faire durer le plaisir. Puis, elle attrape l'élastique de mon boxer et le tire doucement vers le bas. Je suis à présent complètement nu devant elle, et je la sens observer chaque recoin de mon corps avec attention. J'ai l'impression que rien ne lui échappe, qu'elle sait exactement où toucher pour me donner un plaisir inouï.
J'entends ses os fragiles craquer lorsqu'elle s'installe à genoux face à moi. Avec sa langue, elle caresse doucement ma peau, créant une sensation électrisante qui se propage à travers tout mon corps. Ses mains rugueuses se posent sur mes hanches pour se maintenir. Ma verge en érection s'offre à elle, je ressens un mélange de désir et d'appréhension. Je me sens entre de bonnes mains, entre les mains expertes de cette vieille dame qui semble savoir exactement comment s'y prendre pour me procurer du plaisir. Je suis impatient de découvrir ce qu'elle va me faire, mais je suis aussi anxieux de me comporter ainsi. Chaque instant qui passe augmente mon excitation et mon désir. Avec sa langue elle se dirige vers ma verge, explorant chaque centimètre avec soin. Je me sens de plus en plus détendu et j'ai du mal à retenir mes gémissements. Mais elle semble savoir exactement ce qu'elle fait, elle alterne entre des caresses légères de sa bouche et des pressions plus fortes, créant une montée de plaisir qui me submerge petit à petit. Mes yeux sont fermés, je me laisse emporter par cette sensation électrisante, tandis que ses mains rugueuses caressent mes fesses en les tenant fermement.
Essouffler elle s’arrête et se lève avec difficulté, je m'approche d'elle pour l'aider en la soutenant. Je remarque alors qu'elle a du mal à se mettre debout, et je comprends que c'est à cause de l'arthrose qui la fait souffrir. Malgré la douleur, elle garde un sourire chaleureux et me remercie de l'avoir aidée. Elle s'étire ensuite les bras, et j'entends des craquements sourds lorsque son dos se tend. Je vois la douleur sur son visage, mais elle ne se plaint pas et prend ma main pour me conduire dans sa chambre.
C'est une petite pièce cosy, avec un lit à colonnes fait de troncs d'arbres d’où grimpent des lierres. Des plantes grimpantes courent sur les murs, donnant à la chambre une ambiance forestière et apaisante. Le sol est recouvert d'un tapis moelleux en laine, et une petite table de nuit en bois brut est posée à côté du lit. Sur celle-ci, il y a une lampe qui diffuse une lumière chaude et tamisée dans la pièce. Des étagères en bois sont fixées au mur, avec des livres et des objets décoratifs disposés dessus. Malgré sa simplicité, la chambre est pleine de charme et de personnalité, comme si elle avait été décorée avec soin pour refléter le bien-être de la nature.
Nous sommes là, debout côte à côte. Elle me regarde d'un air coquin et commence à ouvrir la fermeture de sa robe. La robe glisse lentement le long de son corps et tombe à ses pieds, révélant son corps âgé, marqué par le temps, flasque et ridé. J'admire sa confiance en elle et en son corps, témoignant de toute une vie d'expériences. Elle porte des sous-vêtements en coton blanc, simples et usés par le temps. Sa culotte haute ne parvient pas à dissimuler les bourrelets de son ventre, et son soutien-gorge peine à contenir sa poitrine qui déborde légèrement sur les côtés.
Je m'approche d'elle et dégrafe son soutien-gorge. Dès que l'agrafe s'ouvre, ses seins qui étaient maintenus par le soutien-gorge se libèrent, tombant lentement par la gravité et révélant leur forme flasque et ridée, marquée par les années qui ont passé. La vue me surprend, mais je suis touché par la beauté de ses grosses auréoles qui entourent ses mamelons grossis par son piercing. Je m'approche d'elle doucement, caressant du bout de mes doigts sa poitrine, puis je l'embrasse tendrement sur la bouche, dans le cou, et enfin sur ses seins, leur offrant l'attention qu'ils méritent. Je suis en admiration devant cette femme qui a vécu, aimé et survécu, et qui est encore capable de me faire ressentir des émotions aussi fortes.
Elle me demande de me coucher sur le lit, et je m'exécute, une fois installé je l’observe dans le silence paisible de la chambre, où seule la musique de la radio continue de jouer. Elle commence à se balancer son bassin en rythme avec la musique. Mes yeux sont rivés sur sa silhouette imparfaite, marquée par les années. Elle accélère le mouvement, ses longs cheveux gris dansent dans les airs. Sa poitrine plate suit les mouvements de son corps. Elle se tourne dos à moi et je suis hypnotisé par la grâce de ses mouvements, captivés par les courbes de son corps mature. Mon regard ne peut s'empêcher de se poser sur ses bourrelets, qui se dévoilent peu à peu lorsqu’elle baisse doucement son slip au tempo de la musique. C'est à la fois dérangeant et excitant de voir son corps flasque se dévoiler ainsi. J'ai envie de la caresser, de découvrir chaque recoin de sa peau ridée. Mais je reste là, encore avec beaucoup d’appréhension, à cause de son âge, immobile, observant son striptease en silence. Son slip glisse lentement le long de ses jambes pour finir à ses pieds, elle se débarrasse de cette dernière pièce de tissu. Elle se retourne lentement vers moi, ses mains cachant ses parties intimes, me laissant imaginer sa forme et texture.
Son corps mûr et expérimenté m'appelle, me faisant frissonner de désir. Je me lève du lit, me rapproche d’elle, toujours en mouvement. Mes mains caressent sa peau. Elle tourne sur elle-même lentement comme une toupie. Au bout de quelques tours, je l’arrête pour que mes mains caressent ses fesses flasques, en explorant chaque courbe et chaque bosse. Je découvre une beauté différente, une beauté qui ne réside pas dans la perfection physique, mais dans la singularité et l'authenticité de chaque imperfection. Je m’accroupis me penche lentement vers elle, mes lèvres effleurent sa peau marquée par les années. Je mordille doucement ses fesses, sentant la chair molle sous mes dents. Elle prend mes mains pour que je me lève et en s’entrelace, nos lèvres se rejoignent en un baiser passionné et langoureux. Nous tournoyons jusqu'au lit, notre étreinte ne faiblit pas. Arrivés au pied du lit, nos baisers se font plus intenses, nos mains parcourant nos corps. Nous sommes prêts pour ce qui va suivre.
Je la laisse se coucher dans le lit et j’observe son corps nu allongé devant moi. Je viens d’apercevoir une forêt immense de poils pubiens qui recouvre sa chatte. Je me glisse dans le lit et la rejoins, passant ma main sur sa peau. Nous continuons de nous embrasser passionnément, explorant chaque recoin de notre bouche. Je sens mon désir monter en elle, et elle gémit doucement sous mes caresses. Je glisse ma main sur sa poitrine plate, mes doigts caressant ses tétons dressés. Ma bouche est prise d'une envie irrépressible de les sucer, de les goûter, de les mordiller. Mes lèvres se posent sur sa peau, mes dents grignotent doucement sa chair, tandis que ma langue s'enroule autour de ses tétons. Elle gémit doucement, son corps frémissant sous mes caresses et mes coups de langue.
Je sens couler dans ma bouche un liquide chaud sortir de ses seins comme une femme voulant allaiter son bébé. Le jet de plus en plus conséquent à force de lui sucer ces auréoles. Ses gémissements deviennent de plus en plus forts, m'encourageant à poursuivre à chaque giclée. Elle ondule son corps contre le mien, m'invitant à continuer. Je ne peux résister à l'envie de continuer à téter ses tétons, aspirant le liquide chaud qui s'écoule. Elle se cambre sous mes caresses et je sens son sexe humide contre ma jambe, créant une tension érotique intense entre nous. Elle crie de plaisirs.
Je me colle à son corps nu et laisse mes mains parcourir sa peau. Je sens le frisson de désir qui la parcourt alors que mes doigts se faufilent entre ses cuisses. Je découvre sa forêt vierge, sentant la chaleur et l'humidité de son intimité. Je glisse un doigt dans sa fente, la faisant gémir doucement, avant d'en ajouter un deuxième, la remplissant complètement. Elle se cambre contre moi, suppliante, me demandant de continuer. Je remonte alors ma main pour trouver son clitoris, le frôlant du bout des doigts. Je le titille délicatement, appréciant les petits cris de plaisir qu'elle émet. Je veux la faire grimper toujours plus haut, je veux qu'elle se sente vibrer sous mes caresses, qu'elle atteigne des sommets de plaisir grâce à moi.
Je décide de lui offrir une pause avant de passer à l'acte, et lui demande de bien s'allonger sur le lit. Elle s'exécute, étendue bien droite, offrant sa poitrine à la vue et sa chatte à ma convoitise. Je peux encore apercevoir des giclées de liquide et des gouttes qui sortent de ses mamelons encore en érection. Je m'approche lentement d'elle, mes yeux ne quittant pas son corps nu et offert. Je me penche sur elle, mes lèvres se posant sur sa poitrine, léchant chaque goutte de liquide sucré qui perle de ses mamelons tendus. Ma langue parcourt sa peau, traçant un chemin de baisers et de caresses, descendant lentement vers son nombril. Je lui écarte les jambes, m'agenouille entre ses jambes, mon regard fixé sur l’intense foret pubien qu’elle possède. Je me penche vers elle et effleure sa peau de mes lèvres, parcourant chaque centimètre de son nombril, jusqu'à atteindre sa vulve. Mes lèvres frôlent doucement ses lèvres intimes, et je sens son corps se tendre sous mes caresses. Je prends le temps de la découvrir sa chatte, de la sentir, de la goûter, avant de m'emparer de son clitoris avec ma bouche. Je le caresse doucement, puis plus intensément, en alternant les mouvements pour la faire gémir de plaisir. Elle se tortille de plaisir, ses vertèbres craquant sous la tension. Sa tête renversée en arrière, les yeux fermés et les mains agrippant les draps, elle se laisse emporter par l'extase de son orgasme.
Je plonge ma langue entre ses deux lèvres intimes, explorant chaque recoin de sa fente. Je sens sa chatte se mouiller de plus en plus sous mes caresses buccales. Remontant vers le haut, je trouve son clitoris, dur et dressé, prêt à être stimulé. Je le lèche avec insistance, alternant les mouvements, le suçotant et le titillant avec ma langue, tout en écoutant attentivement ses soupirs et ses gémissements de plaisir. Elle se cambre sous mes attentions, offrant son corps à mes caresses.
Je me redresse pour lui murmurer à l'oreille : "Maintenant, c'est à ton tour de te donner du plaisir". Elle me sourit et je mets mes genoux au-dessus d'elle, nos bouches se retrouvant à la hauteur de nos sexes respectifs. Je commence à lui lécher son clitoris, tout en sentant sa bouche s'occuper de mon pénis avec une douceur et une dextérité incroyable. Nous nous abandonnons à la sensation de nos bouches avançant et reculant sur nos sexes en quête de sensations toujours plus intenses. Nous ne faisons qu'un dans ce moment de pur plaisir au rythme des mouvements de nos langues.
Je glisse mes doigts dans sa chatte humide, doucement jusqu'à trouver son point sensible. Je caresse l’intérieur délicatement, sentant son retour d'excitation sur ma queue qu'elle suce avec passion. Je lui offre tout ce qu'elle désire, en l'entrainant dans un tourbillon de plaisirs intenses. Sa chatte se contracte autour de mes doigts, m'invitant à aller encore plus loin, à la combler davantage. Je sens son corps frissonner de plaisir et je me perds dans l'ivresse de la sensation de sa bouche sur ma queue. Après un fort moment de plaisirs, je retire mes doigts de sa chatte, me redresse pour m'asseoir sur le lit, ma queue se libère de sa bouche gourmande. Je porte mes doigts humides à ma bouche. Je ferme les yeux et savoure son goût sucré et salé, un mélange délicieux qui m'excite encore plus et me donne envie de la dévorer entièrement.
— Elle me regarde avec désir et me murmure « je veux te sentir en moi maintenant".
— Elle se redresse me donne une caresse, puis me murmure « allonge toi »
Elle est prête à recevoir tout ce que j'ai à donner. Je me laisse tomber sur le lit, la regardant avec envie alors qu'elle s'approche de moi. Elle se penche sur moi, passant sa langue sur mes lèvres et m'embrassant profondément. Je suis submergé par la sensation de ses lèvres douces sur les miennes. J'ai l'impression qu'elle a repris de l'énergie, elle est si souple, je n'entends plus ses os craquer. Je suis émerveillé par la douceur de sa peau, comme si chaque caresse avait le pouvoir de la rendre encore plus sensuelle et envoûtante.
Je sens sa passion monter en elle, son corps bouillonnant d'énergie. Elle se redresse, m'offrant une vue magnifique sur ses courbes plus sensuelles. J'ai l'impression que son corps est en train de se transformer : les bourrelets sont moins visibles, moins flasques. Avec grâce, elle se met en position pour me chevaucher, prenant le contrôle de cette danse charnelle. Je sens son intimité se presser contre moi, s'ouvrir à l'introduction de ma verge et mon corps tout entier est envahi d'un plaisir intense. Les sensations de son corps chaud et accueillant sont enivrantes. Je me sens envoûté, alors qu'elle se penche en avant pour m'embrasser à nouveau. Dans la faible lueur de la chambre, je remarque que son visage est plus doux et que sa chevelure est maintenant plus flamboyante. Je peux même observer un changement subtil sur son visage : sa peau est plus lisse et plus ferme, les courbes des joues sont mieux dessinées, et les ridules autour de ses yeux commencent à s'estomper.
Elle se redresse ensuite avec une grâce sensuelle et excitante pour se positionner au-dessus de moi, telle une cavalière montant sur sa monture. Ses mouvements de bassin sont sauvages, presque animaux, comme ceux d'une lionne en chaleur cherchant à assouvir ses désirs les plus profonds. Elle me chevauche avec une intensité qui me fait frissonner, sa chevelure flamboyante volant dans l'air au rythme de ses mouvements. Sa poitrine se soulève avec force à chaque inspiration, ses seins fermes et galbés attirent mon regard et augmentant encore plus mon désir. Ses hanches ondulent de manière sensuelle, son intimité se pressant contre moi avec une passion débordante. Je suis submergé par les sensations de son corps en transformation, un changement qui me semble presque magique. Sa peau est plus douce, ses courbes plus dessinées, ses bourrelets ont quasiment disparu. Elle semble rajeunir sous mes yeux, devenant une véritable déesse de la sensualité. Mes sens sont ensorcelés par l'intensité de cette expérience, m'enivrant comme si j'étais sous l'effet de la drogue. Mes mains parcourent sa poitrine généreuse avec une tendresse sensuelle, tandis que chaque caresse, chaque mouvement, chaque contact de nos corps m'enfonce encore plus profondément dans un tourbillon de plaisir érotique. Je ne peux résister à cette sensation enivrante qui me submerge complètement. Mes sens sont exacerbés, et je suis envoûté par la passion qui nous anime. Je sens ma verge prête à exploser en elle tellement qu’elle éprouve de plaisir. Nos gémissements se mêlent en un chœur harmonieux, alors que nous atteignons ensemble le summum de notre extase. Je ressens ses muscles internes de son vagin se contracter autour de ma verge, m'incitant à libérer mon jet en elle, impossible de retenir plus longtemps mon jet, il se décharge en elle déclenchant des cris d'extases de notre part.
Une fois vidé, je reste dans ma position en elle, le souffle court, les yeux fermés, mon corps encore vibrant d'un intense plaisir. Après quelques instants de silence, j'ouvre les yeux et je vois une jeune femme aux longs cheveux blonds qui me regarde joyeusement. Ses yeux brillent d'une lueur malicieuse. Je suis intrigué et captivé par sa présence, et je ne peux m'empêcher de la dévorer des yeux tellement qu’elle est belle. Sa poitrine est parfaite, ses fesses rebondies et ses jambes plus élancées. Soudain je réagis, je sursaute du lit.
— « Où est la dame âgée ? » balbutié-je.
— Elle me regarde, sourit et répond : « C'est moi ».
— « Comment ça ? » demandé-je, perplexe.
— « On m'a jeté un sort. Je suis devenue répugnante, seul un amant sincère voulant me donner du plaisir pouvait briser ce sort », explique-t-elle d'une voix douce et sensuelle.
Mon cœur bat plus fort à l'idée d'être celui qui la libérer de ce sort. Je m'approche d'elle lentement, fasciné par son corps magnifique. Mes mains frôlent sa peau douce, alors que ses lèvres se posent sur les miennes avec une douceur exquise. Je sens son corps se presser contre le mien, et je suis ému par la sincérité de ses émotions. Nous explorons nos corps l'un l'autre avec une passion intense, découvrant des sensations encore plus exquises que celles que j'ai ressenties auparavant.
Je me sens connecté à elle d'une manière qui va au-delà du simple plaisir physique, et je suis déterminé à briser le sort qui l'emprisonne. Je prends doucement sa main dans la sienne et lui dit :
— "Je suis heureux d'avoir été celui qui a brisé le sort qui te retenait prisonnière. Mais je ne veux pas que tu partes, je veux que tu restes avec moi. Viens vivre avec moi, je prendrai soin de toi et t'aimerai pour toujours."
La femme sourit et accepte l'offre, heureuse de commencer une nouvelle vie avec cet homme qui l'a sauvée. Ensemble, ils se dirigent vers la fenêtre et ouvrent les rideaux pour laisser entrer la lumière. Ils regardent le soleil se lever ensemble, sachant que leur amour est plus fort que tout sort ou malédiction.

Danse jusqu’à la fin de la nuit, JeanLouis M, nouvelle érotique, danse sensuelle, désir corporel, littérature érotique française, récits sensuels adultes, écriture érotique contemporaine, fantasme de danse, plaisir et mouvement, recueil nouvelles érotiques Tome 1