NOUVELLES EROTIQUES Tome 1 (2023-2025)
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4 - Le Noël qui a réalisé mon vœu
Chaque année, au soir de Noël, je me rends aux quatre coins du monde pour répandre le bonheur en réalisant vos vœux. Comment en ai—je connaissance ? À travers vos rêves, vos lettres. J'ai une nette préférence pour les lettres, celles—là mêmes dont la typographie dévoile vos personnalités. Mais l'époque évolue, les rêves se raréfient. Autrefois, des milliers de rêves s'offraient à moi, des milliers de lettres remplissaient mes sacs de courrier, murmurant vos désirs les plus intimes. Aujourd'hui, je ne reçois plus qu'une poignée de lettres par jour et les rêves ont disparu. Les smartphones ont pris le dessus, reléguant la magie des rêves et des correspondances manuscrites au second plan. Ici, au pôle Nord, les caprices des ondes radio rendent vaines les tentatives de communication électronique. Je me retrouve alors à consacrer mon temps à lire consciencieusement chacune de vos lettres. Mais même ces missives sont teintées de changements. Les demandes, jadis simples et enfantines, se sont muées en requêtes singulières. Finis les souhaits de jouets en bois, de poupées, de garages, de voitures.
Désormais, on exige les toutes dernières merveilles électroniques, des tablettes et smartphones dernier cri, des sommes sonnantes et trébuchantes, voire pour les plus audacieux, de la lingerie voire même des jouets intimes. Cependant, mes lutins ne sont que des experts dans le travail du bois. Réaliser ces demandes dépasse leur domaine d'expertise. Je crains que cette limitation et cette frénésie consumériste ne soient la raison pour laquelle les gens ont perdu foi en moi. Je peux comprendre cette frénésie consumériste, où l'instantanéité prime et où les cadeaux s'obtiennent bien avant Noël, lors des soldes, des promotions et autres festivités de la consommation.
Les usines qui, autrefois, vibraient d'une activité incessante sont désormais impuissantes face à vos demandes, car, techniquement, les lutins ne possèdent aucune compétence en dehors du travail du bois. Ils sombrent dans l'alcool, s'enchevêtrent dans des querelles insignifiantes. Cette atmosphère délétère pèse sur mère Noël depuis des années. Sa préoccupation constante l'a isolée de moi, et nos liens conjugaux s'étiolent dans l'ombre de cette détresse. Je sens son cœur, autrefois vibrant d'une tendre complicité, se voiler d'une tristesse infinie. Son regard, jadis rayonnant de joie et de dévouement, est désormais assombri par un voile de désespoir, comme si l'éclat de la magie de Noël s'était effacé de son être. Sa préoccupation constante l'éloigne de moi et notre relation conjugale s'en ressent douloureusement.
Quant à moi, je demeure assis sur mon trône, observant à travers les fenêtres les étendues glacées du Pôle Nord, autrefois si féeriques et aujourd'hui empreintes d'une désolation criante. Les rues du village, autrefois vivantes et joyeuses, semblent aujourd'hui éteintes, comme englouties par un voile de tristesse. Le désarroi des lutins se traduit par des gestes désespérés. Leurs âmes autrefois vibrantes de l'esprit de Noël sont maintenant assombries par un sentiment d'inutilité. Leur chagrin se répercute dans chaque coin de notre royaume, laissant derrière lui une atmosphère pesante et mélancolique. Le cœur même de Noël semble se faner, emportant avec lui la magie qui autrefois illuminait cette période festive. Tout cela me laisse non seulement désabusé, mais également déchiré par la détresse omniprésente qui imprègne désormais notre monde.
Et moi, je reste là, solitaire, absorbé par la lecture de ces lettres, scrutant chaque mot avec l'espoir ténu de jours meilleurs. Assis dans ce silence glacial, je me berce de l'espoir fragile que ces missives ravivent la lueur éteinte de notre royaume. Je me délecte de ces lignes, attendant patiemment un renouveau, un souffle de vie dans notre univers endormi, espérant que ces mots puissent un jour redonner vie à la magie qui jadis régnait en maître sur notre Noël.
Tiens, une lettre d'une teinte rose inhabituelle, dégageant un parfum délicat évoquant les champs de lavande. Intrigué, je saisis l'enveloppe et, tandis que mes doigts effleurent le papier, elle m'échappe soudainement. Les photos qu'elle contenait s'éparpillent alors, tombant au sol avec un léger bruissement.
Alors que je récupère chaque cliché dispersé, le parfum délicat persiste, m'enveloppant d'une atmosphère envoûtante. Mes yeux se posent sur ces images, prenant le temps de les observer attentivement. Sur l'une d'elles, le visage d'une femme d’une quarantaine, arborant un sourire captivant et une pose pleine de charme. Sur une autre photo, elle pose en pied. Les autres photos des parties rapprochées de son corps qui représente les courbes de son corps, et la dernière un gros plan de poils, et viens de réaliser mon dieu qu’elle est représentée tout nu.
Choqué par ce que montrent les photos, je les dépose sur le bureau. Bien que je n'aie pas été réellement choqué, je préfère ne pas être pris au dépourvu en les regardant. Si quelqu'un entrait dans mon bureau et tombait sur ces photos, je préfère éviter toute situation délicate. Pour éviter d'y prêter attention, je me suis rapidement concentré sur d'autres tâches. J'ai donc continué à ouvrir les autres courriers. Cette activité m'a permis de me détourner efficacement de ces images troublantes et de recentrer mon esprit sur les autres responsabilités. Au bout de cinq minutes de mon activité, mon regard se porte de nouveau sur les photos. Je ne peux pas m’empêcher de résister. Ce n’est pas tenable. Je suis curieux d'en savoir plus sur cette jeune femme. Sa silhouette me rappelle tellement la mère Noël d'antan, mais aujourd’hui elle a pris beaucoup de kilos en trop. Je retourne les photos, les dispose côte à côte sur le bureau et les observe. Elles montrent son corps nu, sur certaine en gros plan, comme celle de sa chatte et de sa poitrine, mon Dieu que c’est beau, sexy, sensuel. Je me laisse emporter dans mes rêves par le corps de cette femme, c’est vrai que je n’ai touché ou vu un corps de femmes depuis très très longtemps.
Depuis que mère Noël, autrefois le pilier de notre foyer polaire, semble s'effacer dans un tourbillon d'inquiétude, préoccupée par l'arrêt des ateliers des lutins, angoissés de les voir sombrer dans la dépression, titubant lorsqu'ils ont abusé de l'alcool, trébuchant ivres dans les caniveaux, son absence se fait ressentir. Ses douces paroles et sa bienveillance manquent à notre équipe. Elle était notre ancre, veillant sur les lutins avec une tendresse maternelle, apportant cet équilibre chaleureux qui maintenait notre village de Noël plein de vitalité et d'espoir. Pour moi, elle va bien au—delà de l'organisation pratique. Elle représente ma boussole morale, mon roc sur lequel je peux m'appuyer pour répandre la magie de Noël avec assurance et bienveillance. Elle savait comment me déstresser et me câliner.
Le père Noël attrape la lettre. Il hume le parfum délicat et s'installe pour la lire attentivement. C'est là, dans ces mots couchés sur le papier, qu'il espère peut—être trouver des réponses, un éclaircissement concernant la présence des photos.
Cher père Noël,
À 40 ans, je suis quelqu'un de bien. Physiquement plutôt agréable. Cependant, je n’arrive pas à franchir le cap du premier rendez—vous. Depuis toujours, je suis très sélective, même à l’époque du collège.
J'ai toujours rêvé d’un prince charmant et de commencer à flirter seulement au troisième rendez—vous, refusant de m'engager avant le mariage. Cette attitude m'a causé beaucoup de solitude, car les hommes n'ont pas perçu mes qualités. Ils auraient préféré avoir un avant—goût de mes capacités. Il m'a fallu du temps pour comprendre cela.
Maintenant à mon âge, je n’ai plus de rendez—vous, car les hommes préfèrent s'orienter vers des femmes plus jeunes et ouvertes aux expériences sexuelles. Je me suis renfermée.
En expérimentant les sex—toys, j’ai découvert que j’étais allergique au latex et au silicone. Lors de mon premier essai, cela a provoqué des plaques rouges et des démangeaisons sur tout mon corps.
Ma vie est prisonnière de mes désirs refoulés. J’ai peur d’avoir manqué l’occasion de rencontrer certaines personnes qui auraient pu me faire découvrir ma sexualité. Depuis je n’entretiens aucune relation amoureuse ni sexuelle, et j’ai une aversion pour les jouets sexuels.
J’ai besoin d’une bite. Une qui quand elle me pénétrera pour la 1re fois. Me fera exploser de mille feux mon corps. Je ressentirai enfin les sensations décrites dans tous les livres sentimentaux que j'ai pu dévorer en attendant le prince charmant.
J’ai bien réfléchi, je me rends compte que vous êtes la seule personne en qui j'aurais confiance. Je vous permets donc le soir de Noël de venir dans mon lit et de me baiser. Je laisserai une boîte de capote (sans latex bien sûr) sur le chevet pour que vous en fassiez usage. Je crois en vous à la réalisation de mon vœu. Étant enfant, vous m'avez apporté tout ce dont j'avais rêvé et souhaité.
Le soir de Noël, je me laverai intimement, me parfumerai, et resterai nu dans mon lit à attendre votre venue. Je vous en prie. Baisez—moi, car j’ai trop envie de connaître ce que c’est que le sexe pour pouvoir enfin ne plus m’abstenir.
Cordialement,
Émilie
Je ne m’attendais pas à recevoir une telle lettre. C’est assez surprenant et inattendu ; elle a réveillé en moi des sensations que j’avais oubliées. J’ai eu du mal à résister à l’envie de regarder attentivement les photos qu’elle avait jointes à sa lettre. Il faut avouer qu’elle n’est pas mal, qu’elle est plutôt bien faite. Je ressens une attirance pour les détails des courbes et des gros plans qu’elle a faits de son corps. Je glisse ma main dans mon pantalon, car ma verge est comprimée par l’érection. Lorsque je la touche, elle me semble plus grosse que d’habitude ; c’est un sentiment agréable. Il faut que je la voie !
- Oh ah ah, belle bête ! En la regardant.
Je commence à la caresser, puis à la bien la tenir dans ma main. Je ne résiste pas à faire des mouvements de va—et—vient avec ma main ; ça m’excite tellement que…
- merde ! j'ai éjaculé sur les photos.
Mon sperme coule sur les photographies et se répand par terre. D’ailleurs, il faut que je nettoie tout cela avant que… La porte s’ouvre mères Noël entre elle me regarde fixement, je ne vous dis pas le tableau. Le père Noël défroquer, qui tient sa queue dans une main et de l’autre, les photographies dégoulinantes de spermes.
- Tu ne penses qu’à ça, gros porc !
- Attends, laisse—moi t'expliquer
- Il y a un véritable désordre en ville : les industries sont à l’arrêt depuis plusieurs années. Les lutins semblent être des zombies, soit parce qu’ils boivent trop d’alcool, soit parce qu’ils fument de la marijuana.
- Et toi tu te branles
- Mais …
Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase que mère Noël m’engueule.
- Ras—le—bol de ce temps de merde, ces fêtes complètement morbides ! Je te quitte.
- Je bafouille : << comment ça ?>>
- Oui, tu entends bien. Tu n'es pas encore sourd, que je sache. Je te quitte.
Le traîneau était là, parfaitement paré, scintillant sous la lumière hivernale. Mère Noël, sans hésiter, monta dessus avec une détermination féroce. Elle se saisit des rênes, guidant l'équipe de rennes avec une assurance éclatante. Les grelots tintèrent, les sabots crissant sur la neige fraîche alors qu'ils démarraient d'un coup. En un instant, elle devint une silhouette minuscule, fondue dans le blanc éblouissant de la neige, le traîneau disparaissant rapidement à l'horizon. Un froid glacial s'engouffra dans mes os tandis que je retournais péniblement à ma chaumière. M'effondrant sur mon trône, laissant échapper un soupir. Son départ laisse un vide béant, comme une pièce d'un puzzle essentielle disparut. Oui, elle avait un sacré caractère, mais elle représentait mon ancre, surtout durant ces premières années d'abondance, bien avant que le déclin des vœux et des rêves de l'humanité ne devienne angoissant.
- "Père Noël, père Noël," dit le lutin en franchissant le seuil de ma chaumière.
- "Que se passe—t—il ?"
- "Les quelques jouets demandés sont terminés, voici la liste."
Il me tend un parchemin soigneusement écrit, la liste des jouets produits par l’usine. Seulement vingt—trois lignes.
- "C’est tout ?" Mon ton dévoile ma frustration grandissante.
Il baisse les yeux, tristement conscient de la réalité qu'il s'apprête à confirmer.
- "Oui, Père Noël, c’est tout", murmure—t—il, peinant à dissimuler sa propre déception.
Se retourne avec une attitude triste et résignée me donne l'impression qu'il s'en va la tête basse, la queue entre les jambes. Il prend le chemin de la sortie, s'éloignant lentement, ses épaules affaissées et son pas lourd alors qu'il prend le chemin de la sortie, s'éloignant lentement.
Il est temps pour moi de me retirer, demain, c'est la grande distribution. Que la magie de Noël demeure, même dans ces conditions.
Le grand jour tant attendu s'est levé. Les premières lueurs de l'aube dansent sur les collines recouvertes d'un manteau de neige immaculée, leur donnant une lueur dorée, et insufflant une atmosphère magique dans l'air cristallin. Dans ce paysage hivernal, les lutins s'affairent avec un dévouement fébrile, préparant chaque détail avec minutie pour l'expédition nocturne des rennes. Les stalactites étincellent sous les rayons du soleil naissant, le givre scintille comme autant de diamants dans la lumière éclatante. Les rennes, majestueux et prêts, attendent patiemment. Les lutins, vêtus de leurs habits rouges et verts, brossent doucement leurs pelages luisants, leur prodiguant des soins attentionnés. L'excitation flotte dans l'air, mêlé à une pointe de tension, car chaque cadeau doit être livré cette nuit sacrée de Noël.
Je me dirige une dernière fois vers mon bureau pour parcourir les derniers courriers reçus pendant la nuit. Cependant, mon bureau est dépourvu de nouvelles missives. Je m'assois alors sur mon trône, pensant à mère Noël qui m'a manqué cette nuit. Le désespoir m’étreint à l’idée de ne plus la revoir. Le temps semble filer à toute allure. Perdu dans mes pensées, je contemple mon bureau. Les photos d’Émilie y sont toujours, même si elles ont été souillées de sperme ; je parviens toutefois encore à distinguer ses grandes lèvres de sa chatte largement ouverte. Je souris, apaisé d'avoir trouvé du réconfort hier soir. Cela fait un moment que je n'avais pas ressenti mes bourses aussi vides. Je me rappelle encore ce moment où mère Noël, furieuse, a claqué la porte, moi tentant de la rattraper alors qu'elle montait rapidement dans le traîneau, fouettant les rennes pour partir au galop. À ce moment, quelqu’un frappe à la porte.
- Oui, entrez !
- Un lutin entre. Père Noël, c’est l’heure de partir pour votre expédition.
J’enfile mon gros bonnet rouge, je me dirige vers la sortie et pose ma main sur la poignée, hésitant à l’ouvrir. Je pense encore aux photos qu’elle m’a envoyées ; sa lettre ne m’a pas laissé indifférent. Je vais au bureau récupérer l’enveloppe d’Émilie et la glisse dans la doublure de ma veste.
Je franchis le seuil. Le coucher de soleil sur les cimes des sapins est éblouissant. Le ciel est d’un bleu magnifique, annonçant une belle nuit étoilée.
Mes quatre derniers fidèles lutins chantonnent du mieux qu'ils le peuvent en chœur sur "Douce nuit", tandis que les autres absents surement déprimés ou sous l'emprise de l’alcool font preuve de la plus grande indifférence à mon égard. C’est fini : le temps où tous les lutins entonnaient comme une grande chorale les chants de Noël avant mon départ.
Bon, il est temps que je parte : l’humanité attend ses cadeaux. Je me retourne pour vérifier ma hotte bien vide. Une dizaine de présents se disputent l’espace, s’entremêlant dans le sac. Je fronce les sourcils, mais peu importe ; mon devoir est de perpétuer la tradition de Noël.
- « En avant, en avant ! » crié—je en agitant le fouet au—dessus de mon troupeau de rennes.
Le traîneau a accéléré, montant rapidement dans le ciel. La liste tracée à l'encre magique des lutins brillait sous la lueur de la lune, dévoilant les informations pour guider les rennes vers la première adresse de ma liste, et ainsi de suite. En un temps incroyablement court, ma tournée mondiale était achevée. Jamais cela ne s'était produit. En vingt minutes à peine, la distribution de Noël était terminée. Assis sur la banquette du traîneau, survolant les cimes d'une vaste forêt de sapins, je me demande comment rendre Noël encore plus joyeux pour tous. Le ciel étoilé, piqué de milliers d'étoiles scintillantes, crée un spectacle captivant. Une étoile filante traverse l'obscurité du ciel, comme pour me rappeler qu'il me reste un vœu à exaucer, selon la tradition. À cet instant, mes pensées se tournent vers cette lettre, vers Émilie. Ses mots me hantent.
- « Mère Noël, n'est—ce pas ? » prononça le renne en tête.
- « Mais non, ne soyez pas stupide, » dis—je en sortant la lettre de ma poche. « C'est Émilie. »
- « L'Humaine ? »
- « Moi aussi je suis humain. »
- « Oui, mais vous êtes désormais le père Noël. »
- « J'ai autant de désirs qu'un homme ordinaire. »
- « Et la mère Noël ? »
- « Elle m'a délaissé depuis des années. »
- « Oh. »
- « Et en voyant les photos d'Émilie, cela m'a rappelé que cela fait un moment que je n'ai pas été satisfait sexuellement. »
- « Vous allez la satisfaire ? »
- « Non, voyons, je ne peux pas faire ça. »
- "Pourtant, c'est son vœu."
- « Oui, mais tout de même. »
- « Si elle me le demandait, je le ferais. »
- « Tu es un renne. »
- « Oui, mais je le ferais. »
- « En tant que père Noël, j'ai une éthique. »
- « Vous êtes un bon père Noël, mais vous avez aussi une responsabilité. »
- « Laquelle ? »
- « Réaliser le rêve de vos admirateurs. »
- « Oui, c'est vrai, mais là, c'est délicat. »
- « Pas si elle est consentante. »
En sortant mon courrier de la poche intérieure de ma veste, mes poils se sont hérissés. Relire chaque mot du document m’a à nouveau fait bander. Les tétons se sont durcis, le tissu de mes vêtements me chatouillant agréablement tout en m’excitant.
- « Au diable mon principe. Si elle a formulé un vœu, je dois l'exaucer pour perpétuer la magie de Noël. »
D'un simple effleurement, j'écris le nom d’Émilie en fin de liste. Les rennes, alors animés d'une énergie nouvelle, guident le traîneau à travers les paysages et les habitations jusqu'au balcon de l'appartement d'Émilie. Je pose mes pieds sur le sol du balcon et me dirige vers la baie vitrée. Elle est à peine entrebâillée, juste assez pour que je puisse glisser mes doigts et ouvrir la fenêtre en douceur. Je marche précautionneusement pour ne pas réveiller qui que ce soit, et je sors une lampe torche pour mieux me repérer dans l'obscurité. Le sol est jonché de pétales de roses rouges, comme s'ils dessinaient un chemin à suivre. Posé au ras du sol, je découvre un soutien—gorge de couleur rouge vif. Cela donne envie d’en savoir davantage sur la personne qui l’a laissé là, comme si je suis invité à un voyage sensoriel. J’arrive au niveau de la porte de la chambre et un string assorti au soutien—gorge est accroché à la poignée afin de m’indiquer que j’ai atteint mon objectif. Je pousse doucement la porte, me faisant le plus discret possible afin de ne pas la réveiller. Les bas résille rouges, derniers éléments de sa lingerie, gisent au pied du lit. Je la trouve allongée, profondément endormie. Ses longs cheveux sont étalés sur l’oreiller et baignent dans la lumière tamisée de la lune filtrant à travers les rideaux. Son visage détendu dénote une tranquillité profonde. Je m’approche doucement pour ne pas la perturber. Son corps est couvert d’un simple drap. Je retire doucement le drap pour la découvrir progressivement. Une fois que tout le drap a été retiré, je peux alors voir son corps intégralement nu.
Quelle belle silhouette ! Je la trouve magnifique, même si elle prétend qu’elle est normale comme elle le suggère dans sa lettre. Je la trouve sereine et épanouie. On dit souvent que la quarantaine est l'âge où les femmes s'épanouissent, pleines de force et de sagesse. C'est du moins l'impression qu'elle me donne, paisiblement endormie dans son lit. Sa grande silhouette couchée sur le côté me laisse apercevoir des jambes longues articulées autour de son gros Q. Il lui manque un peu de volume dans les fesses, mais la forme plane pourrait faciliter une pénétration plus profonde. Son corps oscille vers l’arrière, elle s'allonge sur le dos. Ses mains le long de son corps laissent apparaitre une poitrine plate. J’observe qu’elle n’est pas désagréable à regarder. Je me tiens là, devant son lit, hésitant. Je ne sais pas si je devrais. Mais c’est son désir et son vœu. Étant là, autant passer à l’acte.
Je me déshabille intégralement. Ma verge est prête à l’emploi. Ah ! Ne pas oublier les préservatifs. J'en trouve effectivement sur la commode comme indiquer dans le courrier, j'en prends un, l’enfile sur ma queue et je suis prêt. Je vais sur le lit à quatre pattes et elle est toujours allongée sur le dos, les jambes jointes. À l’aide de ma main, je lui écarte les jambes. Plus qu'elle s’écarte, plus que les grosses lèvres s’entrouvrent comme les portes d'un passage secret. Je m’approche d’elle. Je glisse doucement mes jambes entre ses cuisses. Ma verge a du mal à s’insérer ; je fais de petits allers—retours. À chaque petit mouvement, elle bouge un peu. Mes bras ne peuvent plus soutenir cette posture. Elle me lâche ; mon corps penche vers le bas et je sens que ma queue se dérape à l’intérieur de son vagin, bousculant l’obstacle qui m’empêche de la pénétrer. Elle sursauta d’effroi à cause du coup sec que je viens de lui donner.
- Elle crie, prise de panique : « Ah, au secours ! »
- Pour la rassurer, je lui réponds d’une voix douce : « Ho ho ho, je suis le père Noël. »
Elle se calme et me regarde à la lumière de la lune. Émue par mes paroles, elle m’enlace dans ses bras.
- « Oh ! C’est vous, père Noël. Alors, baisez—moi. Baisez—moi. »
Je reprends mes mouvements de va—et—vient à chaque pénétration plus profonde ; elle gémit de plus en plus fort. Je commence à m’épuiser : j’ai l’impression de courir un marathon parce que je sens une grande fatigue, mais en même temps une excitation. Elle me tape sur le bras parce que mes yeux se ferment à la recherche au plus profond de moi, mes dernières ressources pour la pénétrer. Puis elle me dit :
- « Attends ma chatte à besoins de souffler un peu. ».
Puis elle prend une grande respiration.
- « Laisse—moi te sucer ta queue. »
Soulagé, j'arrête mon marathon, je reprends ma respiration et lui dis :
- « Avec joie »
Je m'allonge sur le dos, elle commence à me caresser doucement les jambes. Pose sa tête sur ma poitrine, puis je sens ses doigts me caresser mes glands, lentement elle s'approche de ma queue, par un jeu de caresses sensible elles m'excitent. Certaines zones sensibles réagissent par de petits mouvements, comme des réactions nerveuses, mais ici, ce sont davantage des réactions sensorimotrices. Elle relève la tête, crache dans sa main. Je sens alors l'humidité de sa salive quand elle astique ma verge. Elle avance sa bouche grande ouverte pour englober ma verge en érection dans sa bouche. Elle effectue des mouvements de tête. Je l’attrape par la tête entre mes mains et la pousse vers le bas pour que ma queue s’enfonce plus profondément dans sa gorge. Je maintiens sa tête pendant quelques secondes, ce qui l’étouffe, mais cela n’empêche pas, une fois son souffle revenu, de reprendre ma queue dans sa bouche. Pour assouvir mon sadisme, je réitère plusieurs fois l’action d’étouffement.
- « Hmm... » Sa voix s'étrangle légèrement par sa bouche pleine.
- « Hmm… hmm », poursuit—elle en gémissant.
Elle continue un temps, puis je vois qu’elle commence à tortiller le bassin et, avec une main, la glisse entre ces cuisses. Puis crie :
- Oh ! J’ai ma chatte qui me démange.
Je la regarde caresser sa chatte vigoureusement. Alors, je lui propose :
- Tourne—toi.
Elle me regarde, très excitée.
- Comment ça ?
Elle pose ses genoux entre mes jambes. Je la regarde et lui dis :
- Mais non en position 69.
Je lui fais de grands gestes avec mes bras pour lui montrer comment j’aimerais qu’elle se positionne. Elle commence par pointer son Q vers ma tête, puis elle recule ses jambes de sorte qu’elles arrivent près de mon visage. Mais elle bouge de nouveau ses jambes. Impatient, je lui dis :
- Non ! Laisse tes jambes là, mais ta tête au—dessus de ma queue.
- Ah oui ! Je comprends maintenant.
Finalement, elle s’installe comme je le désire : je saisis ses hanches et je fais descendre son centre de gravité en pliant ses genoux. Sa chatte est alors à portée de ma bouche. Avec ma langue, je la lèche à grands coups. Ma langue se fraye un chemin entre c'est grandes lèvres la chatouiller.
- « Oh ouuuii, oui ! C’est vraiment bon ce que tu me fais là. »
Sous les compliments, je continue. Chaque fois que ma langue glisse entre ses lèvres, je ressens au bout de ma langue son clitoris, à chaque excitation, son corps se penche vers l’avant. Alors j’agrippe ses hanches pour la maintenir immobile. Je ressens son excitation par ses jambes qui tremblent de plus en plus fort. Elle sort alors ma queue de sa bouche tellement qu’elle est agitée.
- Stop ! Stop ! Je suis tout excité.
- Qu’est—ce qu’il y a ?
- C’est trop fort ; je risque de me pisser dessus si tu continues.
Je rigole et lui dis :
- « Pas grave, »
- « Non ! Je n’ai pas envie de salir mon lit. »
- « OK, pas de problème. »
Pour calmer son excitation, je commence à lui caresser les fesses. Voyant qu'elle se calme, elle reprend sa fellation. Je cherche à glisser mon doigt entre ces fesses, vu le peu de matière grasse présent sur ces fesses, la raie de son Q est presque inexistante. En revanche j'accède facilement à son orifice anal. Je mouille mon doigt et le glisse doucement autour du bord de l’anus. Je glisse un coussin sous ma tête pour la relever afin que ma langue atteigne son anus que je lèche avec le bout de ma langue.
— « Oh ! Quelle sensation ! Ça fait bizarre, mais c’est agréable. »
— « Je suis content que ça te plaise. »
Je la sens essoufflée. Je remarque que son endurance était au plus bas. Alors je lui propose.
- Attend, on change de position, mets—toi sur le dos, et moi par—dessus.
- Est—ce que c’est un 69 inversé ?
- Oui ! Avec un sourire !
Dans cette position, elle ouvre grandement la bouche et avale mes bourses.
- Hum… Oh aille ! Qu’est—ce qui se passe ? demande—t—elle en expulsant mes boules de sa bouche.
- J’ai l’estomac retourné.
- Est—ce que c’est désagréable ?
- Non, mais c’est un endroit très sensible pour moi, mes boules.
- Je vois ce que tu veux dire : comme quand tu insistes sur mon clito.
- Oui, c’est ça.
Fatiguée de sucer, elle relâche sa tête sur l’oreiller. Elle commence à me caresser les fesses. Je sens sa main se glisser entre mes fesses. Et me titille mon anus du bout de ses doigts. Avec ses deux mains, elle écarte mon interfessier, puis pose sa langue sur mon anus pour le lécher. Honnêtement, je ne trouve pas ça désagréable, mais c’est étrange. Pour moi aussi, c’est une nouveauté : avec mère Noël, c’était plutôt du classique ; par exemple, la position du missionnaire, et parfois même du 69. Alors, profitons du moment présent. J’ai enfin quelqu’un qui s’occupe de mon Q !
Je me retire doucement de ma position et me couche à côté d’elle. Je la regarde : elle sourit, prenant visiblement du plaisir. J’approche mon visage pour l’embrasser ; nos langues fusionnent alors dans sa bouche, comme une danse d'une chorégraphie moderne. Mes mains explorent son corps très osseux. Je ressens l'ossature de ses côtes qui mène à sa poitrine. Je caresse ses petits seins ; ils sont minuscules, mais agréables. À l’inverse, ses aréoles mammaires, qui s’étendent autour de ses mamelons, sont très grosses et rugueuses au toucher. En même temps, je glisse ma main entre ses jambes et insère mon doigt dans sa chatte. Elle est tellement mouillée que mon doigt nage dedans. Je relève mon doigt couvert de jus vaginal pour remonter jusqu’au prépuce protégeant le clitoris. J’exerce une pression douce sur le gland en le malaxant avec sa sécrétion vaginale, son lubrifiant facilitant ainsi le mouvement nécessaire à son excitation croissante. Elle commence à gigoter.
Des contractions vaginales et ventrales accompagnent mes rotations du doigt sur son clitoris. Quand je le touche, elle a des spasmes de jouissance. Pour intensifier son orgasme, je me penche vers le bas et baisse la tête entre ses jambes, puis lèche sa vulve à grands coups de langue. Je m’introduis le plus profondément possible dans son vagin pour lui lécher les parois, ainsi que les grandes lèvres. Je remonte ma langue vers le prépuce. Ma langue caresse un petit objet dur, le clitoris qui est à son apogée. Ce petit bout de chair qui est d’habitude et si tendre est devenu dur comme un pic rocheux. C’est à ce moment—là que ma langue suce ce pic tellement durci par l’excitation. Des spasmes ont considérablement accru, accompagnés de cris de jouissance. Quand soudain un jet de liquide s’élève de la vulve et me recouvre le visage ? Tellement excité par ce soudain jet, je redouble d’efforts pour atteindre un nouvel orgasme. Elle ne peut plus supporter les spasmes qui lui tordent le corps ; ses jambes tremblotent. Alors, brusquement, elle se lève et me bouscule, puis court dans la chambre comme si elle courait à travers des flammes, tout en criant.
- « Wow ! J’ai vraiment besoin de prendre une pause pour reprendre mes esprits. » Dit—elle en reprenant son souffle ?
Elle allume une lampe et se penche sur la commode, reprenant alors son souffle comme si elle venait tout juste de terminer un marathon. Progressivement, elle reprend ses esprits en se massant les jambes pour atténuer une quelconque crampe. Je regarde son corps élancé, ses os fins et sa silhouette fine. Les os apparents de ses membres font paraître sa fragilité. Quand elle inspire profondément pour reprendre son souffle, ses côtes deviennent plus apparentes ; on peut même en compter le nombre tellement elles sont visibles. Elle se retourne ensuite vers moi, sa respiration est moins haletante. Je remarque les os de ses hanches qui sont très saillants et proéminents, ainsi que sa partie génitale, bien qu’elle soit couverte de poils pubiens. On peut y voir la structure osseuse de son bassin.
- « Comment ça va ? »
- « Génial, vraiment génial ! Mais presque trop, tu sais : c’était comme courir un marathon ; c’est incroyable cette vague d’énergie qui m’a traversé. »
- « Ça a été intense ? »
- « Oh oui, mais bon. Je suis juste vidé maintenant. »
- « Oh oh oh ! Mais pas moi. » en regardant ma queue en érection
Elle sourit avec son visage rectangulaire fin et sec, les reflets de la lumière jouent avec les ombres sur ses structures corporelles minces. Sa poitrine plate et son derrière rebondi lui donnent une jolie silhouette.
La voyante reprend son souffle normal. Je tapote sur le lit. Elle me regarde, pince les lèvres et expire profondément. Elle se glisse près de moi, tourne le dos et je la serre dans mes bras. Nos corps se rapprochent, s’effleurent. J’ai alors des frissons qui parcourent mon corps : une conséquence de nos ébats sexuels. On reste collés à l’autre pour récupérer notre énergie. On se caresse gentiment mutuellement. Arrivé au niveau de sa poitrine, je suis attiré par la texture de ses auréoles : elles sont rugueuses et s’activent à chaque passage de mes doigts. Ce sont des frissons de chair de poule. Quand j’effleure son téton, je le sens durcir alors je le pince légèrement. À ce moment—là, elle fait une petite grimace, puis sourit. Elle se retourne, s’approche de moi et m’embrasse avec fougue. Avec ses doigts, elle attrape mes mamelons et les pince. Ensuite, elle les lèche et les mordille pour me punir du supplice que je venais de lui faire. Moi, au contraire, ça a réveillé ma verge. Elle s’est alors mise au garde—à—vous. Elle glisse son corps le long du mien, je ressens toute sa structure osseuse à son contact. Sa langue sortie et humide trace un chemin sur ma peau, de ma poitrine jusqu’à mon ventre, avant d’atteindre l’aine. Là elle crache de la salive sur ma queue et la masturbe. Puis elle vient la sucer dans sa bouche pour l’humecter. Elle remonte ensuite vers moi, se penche vers mon visage et m’embrasse avec intensité.
Je sens son corps bouger sur le mien. Les os des hanches se frayant un chemin, sentant la bosse de sa chatte remonter vers mon ventre, elle place alors son corps et je sens qu’elle fait marche arrière de son corps. Mais en baissant son bassin. Elle continue à m’embrasser, mais me mordille la lèvre au moment où je sens ma queue écarter ses grosses lèvres et pénétrer sa chatte. Je sens ma queue à l’intérieur se bloquer à un endroit, par un obstacle. Alors, elle pousse d’un coup sec son bassin, et ma queue pénètre complètement dans son vagin. À ce moment—là, elle émet un gémissement vibrant, manifestant son excitation.
Elle pilote son corps, en effectuant des vas et—viens cadencés à un bon rythme. Avec mes mains, je lui caresse la poitrine pour la stimuler encore plus ; elle pousse alors sa tête en arrière et gémit synonyme de grand plaisir. Elle est effrénée dans cette position, on aurait dit une cavalière sur son étalon. Elle se fatigue, elle se lasse, alors je lui donne une petite tape sur les fesses. Elle redresse sa tête et elle me fixe d’un air farouche en disant :
- « Oui, père Noël ».
- « Je veux te prendre quatre pattes »
- « Oh oui ! j’en ai besoin. Mes jambes commencent à me lâcher. »
Elle retire sa chatte de ma queue ; celle—ci est couverte d’un liquide visqueux blanchâtre, son lubrifiant naturel vaginal. Elle s’écarte de moi pour que je puisse me lever. Elle prend les coussins de lit et en fait un support pour poser ses épaules et sa poitrine pour se reposer. Elle se place à quatre pattes les jambes serrées devant moi et offre ainsi une vue poétique sur son gros Q. Alors, je lui demande :
- « Rapproche—toi du bord. »
Elle exécute la manœuvre. Elle se rapproche de moi et je lui demande de bien écarter ses jambes. Ses lèvres s’ouvrent comme des pétales de fleur en épanouissement, puis laissent apparaître l’ouverture de son vagin. En reculant, ma verge est attirée par ce trou demandeur. Je reste debout au bord du lit et, commençant à la caresser, je finis par y glisser mon sexe. Elle commence alors à onduler son bassin dans un mouvement de va—et—vient qui rend la pénétration de plus en plus profonde. Mes mains lui caressent le dos, les hanches et les fesses ; je glisse alors mon doigt dans la fente de ses fesses pour de nouvelles sensations. Alors que j’aperçois parfaitement la structure osseuse du bassin, je ne peux pas l’appeler une rainure, car elle est presque invisible dans cette position. Par contre, son anus est entièrement accessible ; alors, je crache sur lui et utilise mon doigt pour dessiner son contour. À chaque passage, je perçois une réaction de sa part : il se contracte puis se relâche. Je crache sur sa raie pour lubrifier la chose, puis j’effectue un tour complet de mon doigt autour. Il est là, sur la périphérie, quand soudain elle pousse son bassin en arrière pour que le doigt pénètre dans son anus. J’ai l’impression qu’elle apprécie. J’adore ces deux manières différentes de la faire jouir. Cela me rend encore plus excité. Puis elle me dit :
- « Oh, père Noël ! Petite canaille ! »
Contrairement à ce qu’on pourrait croire, elle ne s’arrête pas. Elle continue à gémir et à osciller avec son corps. Puis elle s’arrête, ma queue s'est désengagée d'elle, elle s'étire sur le lit pour récupérer de l'énergie, à sa position initiale à quatre pattes en ondulant son derrière de droite à gauche. À ce moment—là, je saisis l'occasion pour lui défoncer son Q. Quand mon gland commence à pénétrer, elle émet un petit cri perçant.
- « Tu veux que j’arrête ? »
- « Je ne saurais dire… je n’ai jamais fait ça auparavant, ooohh. »
Elle n’avait pas encore fini sa phrase qu'elle s’enfonçait déjà de plusieurs centimètres.
- « Tu veux que je la sorte ? »
- « Non, père Noël. Mon vœu est que tu me défonces le Q de plaisir. »
Sans hésiter, je continue doucement. Il s’enfonce, petit à petit, je dirais que j’en suis peut—être à la moitié. Alors, je pousse mon bassin au maximum ; à ce moment—là, elle est complètement entrée. Elle a alors poussé un cri, mais je n’ai pas pu déterminer si c’était de plaisir ou de douleur.
- Entre chaque coup de queue, elle m’a dit : « Ne t’en fais pas, au début, j’ai été surpris, mais continue ! C’est vraiment trop bon. »
Donc, je continue à la sodomiser jusqu’à ce que j’aie senti monter la pression. Les premières gouttes de sperme allaient bientôt sortir. Puis, je ressens un jet puissant coulé le long du canal de mon urètre. Je suis actuellement en train de vider ma bourse de sperme dans son rectum. Vidée, ma verge est devenue molle. Je l'extrais de son Q. En le sortant, une bonne partie de mon sperme coule de l’anus sur le sol. Elle s'allonge sur le lit, sur un côté, tend ces jambes, qu’elle étire doucement. Puis se lève, ses mouvements sont encore affectés par le coït. Elle titube dans la pièce.
- "Ça va ?" demanda—t—il entre deux respirations haletantes, "tu ne souffres pas trop ?"
- "Oui, ça va. C’est juste que c’est nouveau pour moi."
Elle se dirige vers les toilettes. Elle s’assied sur le trône et attend que mon sperme s'évacue par mon anus. Pendant ce temps, je vais me reposer sur le lit. Ça fait déjà cinq minutes qu’elle est aux toilettes. Je me lève et me dirige vers elle ; ses mains sont baissées sur sa tête. Je m’accroupis près d’elle et lui demande :
- « Est—ce que ça va ? »
- « Elle redresse la tête. »
- « J’ai mal au ventre, mais c’était génial. » Elle verse maintenant des larmes. »
- « Oh, doucement ! Tu as de la peine ? Je t’ai fait mal ? »
- En sanglotant, elle me dit : « J’attendais ça depuis si longtemps ! C’est le plus beau Noël ! »
Elle s’écroule alors dans mes bras, et je la serre contre moi ; ses larmes ruissellent le long de mon corps. On reste un moment comme ça, mais mes jambes commencent à fourmiller. Je lui demande si elle a envie d’aller se recoucher. Elle hoche la tête affirmativement. Alors, je me lève ; elle a encore du mal à marcher. Je la soutiens et la guide vers le lit et nous nous couchons, exténués par cette soirée de Noël. Je la tiens dans mes bras. Lui fait un bisou dans le cou. Je la caresse doucement en chantonnant « Douce nuit ». Je la sens qu’elle s’endort paisiblement.
Je me suis échappé de son lit avec délicatesse, faisant attention à ne pas troubler son sommeil paisible. Elle dort profondément, son visage illuminé d'un sourire radieux. Avec précaution, j'ai replacé le drap pour la couvrir tendrement. À portée de main, une carte postale de Noël vierge attendait ; j'y ai écrit de ma plus belle plume :
Joyeux Noël ! Que cette journée t'apporte autant de bonheur que tu m'en as donné. À l'année prochaine pour de nouveaux rêves à réaliser. Merci pour ce moment magique.
Le Père Noël.
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