NOUVELLES EROTIQUES Tome 1 (2023-2025)
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7 - A table !
Je rentre du travail, complètement vidé, comme si chaque minute passée là-bas avait aspiré le peu d'énergie qu'il me restait. La journée a été interminable, écrasante. Dès que j'entre, j’embrasse machinalement ma femme, sans même la regarder vraiment. Pourtant, je sais qu’elle a pris le temps de se faire belle, mais dans l’état où je suis, rien ne m’atteint. Mon esprit est encore embrouillé par les frustrations de la journée. Mes collègues, avec leurs bavardages incessants, leurs petites mesquineries, leurs questions idiotes. Ces gens qui, même sans parler, m’irritent par leur simple présence.
J’ai l’impression d’être pris dans un engrenage infernal, à courir après un but qui recule toujours. Et quand je fais enfin un pas en avant, un de mes collègues débarque avec un nouveau problème, un énième obstacle qui fait déborder ma patience. Ainsi que ces réunions inutiles où tout le monde parle pour ne rien dire, où je suis obligé de sourire en coin alors que l’envie de tout envoyer valser m’étouffe presque.
Mais enfin, je suis chez moi, à la maison. Un soupir de soulagement m’échappe, comme si j’étais libéré d’une prison invisible. Le poids de la journée semble encore coller à ma peau, mais je m’efforce de l’ignorer. Je me dirige vers mon bureau, épuisé, vidé de toute énergie. Je me sers un whisky, espérant que ce verre me donnera un peu de répit, une excuse pour supporter un jour de plus. L’alcool descend doucement dans ma gorge, comme une chaleur qui tente de dissiper l’engourdissement. Une petite pause, une illusion de contrôle sur ce chaos intérieur.
Je m’effondre dans mon siège de gamer, celui qui, plus que ma propre vie, est devenu mon refuge. Ici, tout est enfin simple. Je lance ma session de jeu. Pas de collègues agaçants, pas de tâches interminables, juste moi, mon écran, et un objectif clair : tuer des zombies. C’est mon exutoire, mon échappatoire. Aucun besoin de réfléchir, aucune question à se poser. Juste frapper, tirer, éliminer. Pendant un moment, ça me donne l’illusion d’avoir encore un peu de contrôle. Pendant un moment, je peux oublier tout le reste.
Quand un zombie surgit à l’écran, je ne vois plus un monstre virtuel. J’imagine mes collègues à la place, ceux qui me tapent sur les nerfs jour après jour. Je prends un malin plaisir à les décapiter avec ma machette, ou à les viser de loin avec mon fusil de sniper. Chaque zombie que je tue me permet de relâcher un peu de la tension qui me ronge. Mais même là, je me sens comme un fantôme, glissant d’un massacre à l’autre, sans âme, sans but, juste une machine qui élimine une horde sans fin.
Et soudain, une voix stridente résonne : « À table ! ». Ce cri me fait sortir brutalement de ma torpeur. Je déteste quand on crie dans cet appartement, qui, avec ses murs hauts et ses pièces vides, amplifie chaque bruit. Je soupire, agacé, et me lève péniblement, traînant les pieds comme un mort-vivant. Je traverse l’appartement, mes pas lourds résonnant sur le carrelage froid. Je me sens encore engourdi, presque somnambule, les pensées toujours embourbées dans cette fatigue écrasante.
Puis, en arrivant à la salle à manger, quelque chose capte enfin mon attention. Mes yeux s’ouvrent un peu plus, et un sourire fatigué s’étire sur mes lèvres. Ce soir, le "dîner" est plus surprenant que ce que j’aurais pu imaginer. Ma femme est là, nue, assise sur la table. Ses jambes sont écartées, ses fesses reposant sur le plat garni de salade. Elle tient ses lèvres intimes délicatement écartées, m'offrant une vue qui me sort enfin de ma léthargie.
D’une voix douce, elle me murmure :
— « À table, mon chéri, voici l’entrée. »
Je lève les yeux et la regarde droit dans les siens. Mon visage, marqué par la fatigue et l’épuisement de la journée, retrouve peu à peu des couleurs. Ce simple geste qu’elle m’offre fait disparaître mes angoisses, comme si tout ce poids s’évanouissait soudainement. Une larme, silencieuse, coule le long de ma joue. Je m’avance vers elle, la prends dans mes bras avec tendresse, et dépose un baiser plein de gratitude sur ses lèvres.
Je lui murmure doucement à l’oreille :
— « Merci, mon amour, pour toute ta douceur… »
— « Mais ce soir, j'ai une faim dévorante. »
Elle répond, dans un souffle, son regard brûlant :
— « Alors, dévore-moi. »
À ce moment-là, je commence à la caresser doucement, mes lèvres glissant sur sa peau tandis qu'elle déboutonne ma chemise, enlève ma ceinture et ouvre ma braguette avec une aisance presque naturelle. Il ne me faut pas longtemps avant que je sois aussi nu qu'elle. Elle attrape alors une bouteille de ketchup et en fait couler un filet sur son corps, avec un sourire malicieux.
— « Un peu plus de sauce, monsieur ? » murmure-t-elle, son regard plein de malice.
Je souris en réponse à son geste, puis ma langue vient lécher la sauce qui dégouline sur son corps. Elle en rajoute à différents endroits, et finalement, en fait couler une giclée sur son sexe. Nos regards se croisent, un large sourire éclaire mon visage, et sans attendre, je plonge ma langue dans sa chatte, savourant ce mélange inattendu de saveurs. Ses premiers gémissements me confirment qu’elle apprécie, alors je continue, explorant son vagin avec ma langue.
Ses gémissements deviennent plus intenses à chaque passage précisément à ce point sensible, elle se mets à gémir encore plus fort. J’insiste alors sur cette zone, comme un chat qui laperait son lait. Son plaisir monte en flèche. Elle attrape ma tête et la presse plus fort contre son sexe, à tel point que ses poils pubiens me chatouillent le nez et me font éternuer. Cela la fait éclater de rire, et moi aussi. Nous rions ensemble, un moment léger au milieu de cette passion.
Je me redresse alors qu'elle retire le plateau de sous ses fesses et se débarrasse des feuilles de salade qui étaient coincées entre ces fesses. Elle s'approche du bord de la table, et bientôt, nos corps se retrouvent collés l'un à l'autre, entrelacés. Nos respirations s'entremêlent, créant une chaleur palpable entre nous. Puis, dans un soupir de soulagement, elle gémit alors que je la pénètre enfin. Nos fronts se touchent, et nos regards se figent, plongés l’un dans l’autre. Je commence à bouger mon bassin, lentement au début, mais chaque mouvement la fait gémir encore davantage. Ce soir, malgré ma fatigue, mon sexe est dur et bien raide, un plaisir rare que je savoure pleinement.
Elle le sent aussi, et je perçois dans son regard une complicité profonde. Son sourire radieux accompagne chacun de ses gémissements, témoignant de l’intense excitation qu’elle ressent. Son plaisir est le mien, et je sais qu’elle adore avoir une bonne queue en elle ce soir. Elle se penche alors vers mon oreille et me murmure, son souffle chaud contre ma peau :
— « Vas-y, mon amour, fais-moi exploser ma rondelle ce soir. »
Cela fait plusieurs années qu’on essaie d’avoir une relation anale, mais jusqu’à présent, je n’ai jamais réussi à aller jusqu’au bout. Souvent, ma queue n’est pas assez dure, et je pense que c’est en grande partie psychologique. J’ai toujours cette peur de lui faire mal, ce blocage mental qui me rappelle que ce n’est pas « conventionnel » dans l’idée qu’on se fait du sexe. Mon esprit me joue des tours, et ça m’empêche de lâcher prise. Elle aussi a ses appréhensions, ce serait une première pour elle, et je sens bien qu’elle est partagée entre l’envie d’essayer et la peur de l’inconnu.
Mais ce soir, tout est différent, elle a tout prévu. Le gel lubrifiant est déjà posé sur la table. Elle en applique généreusement sur ma queue, puis autour de son anus avec soin. Allongée sur la table, les jambes en l'air, elle écarte ses fesses de ses mains, m'offrant son intimité. Son anus, rond et délicat, me fait penser à un cratère de volcan endormi, prêt à s'embraser à nouveau. Mon gland frôle l'orifice, et je sens ses muscles se contracter légèrement autour de lui.
— « Relaxe, mon amour », lui murmuré-je doucement, cherchant à l'apaiser
Elle prend de petites respirations profondes, et je peux voir son corps se relâcher peu à peu, surtout au niveau de son anus, qui s'assouplit et s'entrouvre légèrement. C'est le moment que j'attendais. Je prends doucement ma verge et l'approche de cette petite ouverture. Avec délicatesse, je commence à l'introduire lentement. Je remarque quelques grimaces d’inquiétude sur son visage, mais je reste patient, attentif à ses réactions.
Je fais de légers mouvements de va-et-vient, avançant doucement, enfonçant ma verge un peu plus à chaque passage, millimètre par millimètre, progressant prudemment, en restant à l’écoute de son corps.
Chaque fois que je m'enfonce un peu plus, elle grimace, mais elle ne dit rien. Puis, après avoir introduit un bon centimètre, son corps semble s’adapter. Elle commence à gémir doucement, et dans un souffle, elle murmure, avec un sourire nerveux :
— « Oh, chérie… »
Je la prends doucement par les mains pour la rassurer et lui murmure :
— « Ne t'inquiète pas, j'y vais doucement, le bout est déjà à l'intérieur. »
Je commence à bouger mon bassin, avançant lentement en elle. Je sens clairement ses muscles serrés autour de ma queue, chaque contraction de son anus resserre encore plus l'étreinte, me procurant des sensations d'une intensité incroyable.
— « Aïe, aïe... » gémit-elle, la douleur mêlée au plaisir.
Je la regarde, un sourire satisfait aux lèvres, reconnaissant pour ce qu'elle m'offre.
— « Oui, souris ! » réplique-t-elle, un brin provocateur. « J'aimerais bien te voir avec une grosse bite dans le Q », ajoute-t-elle avec un air sérieux.
Elle reprend sa respiration, et je sens soudain ses contractions anales se relâcher. Sans prévenir, ma queue glisse plus profondément en elle, bondissant de quelques centimètres, ce qui la fait crier de surprise. Pris de panique, je m'arrête net et lui demande rapidement :
— « Ça va ? »
— « Oh oui... » répond-elle dans un souffle, son visage illuminé par le plaisir. « Tu n'as pas idée, c'était jouissif. Continue ! »
Je reprends mes mouvements de bassin, mais cette fois, ma queue est bien enfoncée en elle. Mes coups de reins deviennent plus longs, plus rapides, et je peux sentir que cela lui procure à la fois du plaisir et une légère douleur. C’est un mélange puissant des deux, qui la fait jouir encore plus intensément. Ses cris, ses gémissements et même ses rires se succèdent, témoins de ce tourbillon de sensations qu’elle traverse.
De mon côté, chaque mouvement de mon pénis dans son anus m’envahit d’une excitation profonde. Après tant d’années d’attente, je ressens une satisfaction presque irréelle : je goûte enfin à l’anal, et pas avec n’importe qui, mais avec ma femme, celle que j’aime profondément. Ce moment va au-delà de l'acte en lui-même. Pour moi, il symbolise bien plus : sa confiance en moi, son don total. Ce n’est pas simplement parce que je la sodomise, mais parce qu’elle m’accorde sa confiance en me laissant explorer cette part intime d’elle. Certains considèrent cela vulgaire, mais pour moi, quand c'est fait avec respect et amour, cela peut être une expérience incroyablement jouissive pour les deux.
Son visage oscille entre grimaces et expressions de plaisir intense. Sentant son excitation monter, je décide de lui caresser le clitoris pour intensifier son plaisir. À cet instant, ses yeux s’agrandissent, comme s'ils allaient jaillir de leurs orbites tant ses contractions internes se font soudain puissantes. Pensant lui faire mal, j’arrête immédiatement.
Elle me fixe alors, les sourcils froncés, et me supplie, à bout de souffle :
— « Putain, n’arrête pas ! C’était incroyable ! »
Je mouille généreusement mes doigts avec ma salive, les humidifiant bien avant de stimuler délicatement son clitoris tout en continuant à enfoncer ma verge profondément en elle. Ses gémissements deviennent plus intenses, presque rauques, et son corps se contracte visiblement sous l’effet du plaisir. Je me demande un instant si je ne vais pas trop loin, mais je sais qu’elle pourrait me stopper à tout moment. Alors, je continue en espérant ne pas devoir stoppées. Chaque spasme de son anus, entre contraction et relâchement, accentue mon propre plaisir, et je sens ma queue réagir à ces sensations. Je commence à gémir à mon tour, et bientôt, nos gémissements se synchronisent. Sommes-nous connectés ? Ce moment semble fusionnel, comme si nous étions en parfaite harmonie.
L'intensité monte encore. Ses contractions deviennent de plus en plus violentes, et moi, je me sens sur le point d’exploser. Tous mes muscles sont tendus, comme en érection. Chaque fibre de mon corps est en éveil, de la pointe de ma queue jusqu’à mes mamelons. Même mes cheveux semblent frissonner, et je ressens des sensations jusque dans mon propre anus, qui se contracte et se relâche au rythme de nos soupirs. C'est une explosion de sensations, un bonheur tellement intense que je n'ai jamais rien vécu de tel auparavant.
Alors que la tension dans mon sexe atteint son paroxysme, je sens mon liquide séminal se préparer à jaillir. Une pression intense envahit mon canal urétral, annonçant l’arrivée imminente de l’orgasme. Enfin, la vague de mon sperme monte, traversant l’urètre et s’écoulant en une puissante décharge. Je déverse une grande quantité de sperme dans son anus, et au même moment, elle se libère également, un fait qui ne lui était jamais arrivé auparavant.
Dans un cri, elle s'exclame :
— « Oh mon Dieu, excuse-moi ! »
Je la regarde, suspendu à ses lèvres, et lui réponds doucement :
— « Tous tes fluides sont des cadeaux pour moi. »
Je caresse doucement sa peau, dans un geste empreint de tendresse et de profonde connexion. Elle comprend qu’il n’y a ni honte ni tabou entre nous, que le fait d’avoir uriné fait simplement partie de cette intimité partagée, et que l’essentiel est le plaisir que nous avons pris ensemble. J’ai arrêté de bouger, mais ma queue est encore en elle. Elle incline légèrement la tête, jetant un coup d’œil vers nos parties génitales, me faisant comprendre que je peux la retirer.
Je souris, encore submergé par l’émotion de cette expérience intense. Lentement, je retire ma queue de son anus. J’observe, admiratif, son orifice élargi par notre sodomie. Je trouve ça fascinant : son anus se contracte, refermant doucement le cratère que j’ai ouvert, puis se relâche à nouveau, comme s’il me redonnait accès. Ce jeu de contractions continue plusieurs fois jusqu’à ce qu’il libère un pet sonore, accompagné d’un filet de mon sperme qui s’étale sur la table du salon.
Elle rougit, gênée, et je ne peux m’empêcher de plaisanter :
— « En plus d’être une pisseuse, tu es une péteuse ! »
Nous éclatons de rire, détendant complètement l’atmosphère. Ce fut, sans aucun doute, une de mes meilleures expériences sexuelles. Et au fond de moi, j’espère qu’il y en aura bien d’autres à venir.
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