NOUVELLES EROTIQUES Tome 1 (2023-2025)

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9 - Réparations intimes de ma box internet

 

Je me présente à la porte, ma sacoche d’outils à la main. Une femme élégante ouvre, visiblement agacée.
— Bonjour, madame. Vous avez signalé une panne de votre box.
— Oui, je n’ai plus internet depuis plusieurs jours. Rien ne fonctionne.
Je l’écoute en hochant la tête, puis ajoute :
— J’ai vérifié le central de votre quartier, tout est en ordre. Le problème vient probablement d’ici.
— Oh… Entrez, je vous montre.
Elle me conduit dans le salon. La box trône sur un meuble bas. Je m’accroupis pour inspecter les connexions.
— C’est curieux, votre box semble hors tension.
— Je n’en sais rien, je ne suis pas très douée pour ces appareils…
Je plonge la main derrière le meuble pour vérifier les branchements. Mes doigts rencontrent une surface étrange, caoutchouteuse, visqueuse. Intrigué, je ramène l’objet devant moi. C’est long, semi-rigide, et je comprends en un instant…
— Mon Dieu… !
Je la regarde, gêné. D’un geste, je le lui tends.
— Tenez… Ne soyez pas embarrassée. C’est humain.
Elle s’empare de l’objet à la hâte, le pose sur une table. Feignant l’indifférence. Je reprends mon inspection, reconnecte l’alimentation. Les lumières de la box s’illuminent, le réseau revient.
— Voilà, c’est réglé.
Elle s’avance vers moi, visiblement troublée.
— Je suis désolée… Je ne savais pas que… enfin, que c’était ça.
Je me retourne vers l’objet et laisse échapper un sourire.
— Un double problème, si je puis dire.
Elle éclate d’un rire nerveux.
— Oui… effectivement…
Je hausse un sourcil, légèrement amusé.
— Et d’un bon calibre, en plus.
Sa gêne augmente. Elle tripote nerveusement ses mains, hésite. Puis elle chuchote :
— Vous… vous avez des choses comme ça… chez vous ?
Je souris, essayant de détendre l’atmosphère.
— Pas exactement. Mais disons que… je connais.
Son regard s’éclaire d’une curiosité nouvelle. Elle me fixe avec une audace inattendue.
— Avec deux embouts… ou seulement un ?
Je secoue la tête, amusé.
— Juste un. Je n’ai qu’un trou…
Elle éclate de rire, perd légèrement l’équilibre. Instinctivement, je tends les bras pour la rattraper. Nos corps se frôlent. Elle me dévisage, troublée. Puis, d’un geste impulsif, elle m’embrasse.
Je recule doucement, levant les mains en signe de retrait.
— Je… je suis flatté, mais…
— Je ne vous plais pas ? murmure-t-elle, une lueur coquine dans les yeux.
Je soupire, cherche mes mots.
— Ce n’est pas vous, c’est moi. Je suis… gay.
Elle cligne des yeux, surprise, mais ne semble pas découragée. Un sourire malicieux étire ses lèvres. Lentement, elle reprend le double gode sur la table et le brandit devant moi.
— Alors… un trou pour moi, un trou pour vous ?
Je reste sans voix, partagé entre l’étonnement et une fascination que je ne cherche même pas à masquer. Elle capte l’éclat de curiosité dans mon regard et s’approche, conquérante.
— Je vois que ça vous intrigue. Vous n’avez jamais essayé… avec une femme, c’est ça ?
Je hoche la tête, muet, incapable de formuler une réponse cohérente. Son regard glisse lentement sur moi, scrutateur et curieux. Elle avance sa main, s’immisce sous la ceinture de mon jogging, accrochant au passage l’élastique de mon boxer. En un mouvement fluide, elle les fait glisser le long de mes cuisses, révélant ma nudité. Mon souffle se suspend alors qu’un silence électrique envahit la pièce.
Ses yeux scrutent mon corps, mais sa réaction me prend au dépourvu en voyant mon sexe au repos : une moue énigmatique, une esquisse de sourire mi-figue, mi-raisin. Elle me saisit par les hanches, m’incitant à me pencher sur la table. Le contact froid du bois contre ma peau nue me fait frissonner.
D’un geste sûr, elle humidifie son doigt, prenant le temps. Sans brusquerie, elle explore. La douceur de son approche détonne avec la fermeté de ses intentions. Je ressens l’intrusion comme une caresse étrange, chaude. Elle avance, minutieuse, son doigt franchissant le seuil de mon intimité.
Un frisson remonte lentement le long de ma colonne. Mon souffle s’accélère, court et saccadé. Chaque geste d’elle s’étire dans le temps, hypnotique. Rien de comparable aux expériences passées dans la communauté des ours que je fréquente, avec leurs mains larges, aux doigts rugueux et envahissants.
La douceur de sa peau tranche avec ces souvenirs. Là où d'autres laissaient une empreinte brute, presque agressive, son doigt explore avec une précision presque artistique. Il glisse en moi comme un fil traversant le chas d’une aiguille, avec délicatesse et maîtrise.
Cette absence de douleur me désarme. Son approche, si différente de ce que j’ai connu, me pousse à m’abandonner. Je ferme les yeux, laissant cette nouveauté s’ancrer en moi, submergé par une douceur qui semble réécrire chaque ligne de mon corps.
Elle avance lentement, glissant un doigt, puis un second. Une vague de chaleur m’envahit, mon corps s’ajuste instinctivement à cette progression. Mais lorsque le troisième cherche à s’introduire, une tension inattendue surgit. Un léger spasme m’échappe, accompagné d’un cri étouffé. Immédiatement, elle retire ses doigts, son ton empreint d’une sincérité douce.
— Pardon, je ne voulais pas te faire mal.
Je reprends mon souffle, un sourire se dessinant malgré la surprise.
— Non, c’est bon… Juste une sensation à laquelle je ne m’attendais pas.
Nos regards se croisent, ses yeux scrutant les miens, comme pour s’assurer que tout va bien. Une complicité silencieuse naît. Je me redresse doucement, elle se place devant moi, s’agenouille avec une aisance naturelle et commence à dénouer mes lacets. Ses gestes sont lents, presque cérémonieux. Mes baskets tombent l’une après l’autre dans un bruit feutré, suivies par mon jogging qu’elle fait glisser avec délicatesse.
Lorsqu’elle se redresse, ses mains s’attardent sur le bas de mon t-shirt. D’un mouvement fluide, elle le retire, dévoilant ma peau. Une chaleur douce émane d’elle alors que ses doigts effleurent brièvement ma taille. Elle me prend par le poignet, sa poigne ferme. Je la suis. Elle m’entraîne à travers la pièce jusqu’à la chambre. Elle ouvre la porte et m’invite d’un geste à entrer.
D’un geste, elle m’allonge sur le lit, mes muscles cédant à cette invitation. Elle ajuste un coussin sous mon bassin, m’élevant légèrement, comme pour mieux m’exposer à ses intentions. Sa silhouette s’efface un instant tandis qu’elle fouille dans une commode, revenant avec un flacon entre les doigts. Elle presse légèrement, laissant perler une goutte de gel translucide. Le froid du lubrifiant contraste avec la chaleur de sa main qui s’attarde entre ma raie fessière. Puis elle presse davantage sur le flacon, laissant une quantité plus généreuse couler directement à l’entrée de mon anus.
Je sens son doigt glissé, souple et précis, un mélange de douceur et d’audace. Un premier passage, lent, suivi d’un second, puis d’un troisième. Chaque mouvement explore, caresse, prépare. Mon souffle s’alourdit alors qu’elle insère un doigt supplémentaire, puis un troisième, laissant place à une pression nouvelle.
Elle se déplace et cherche quelque chose. Au fur et à mesure qu’elle s’approche, je perçois un toucher inédit à la lisière de mon corps. Plus solide, plus dominant que ses doigts, l’objet glisse légèrement, explorant mes limites. Mon souffle s’accélère alors qu’elle applique une pression progressive, guidant lentement l’extrémité du double gode à l’entrée de mon anus. Mon corps hésite un instant avant de céder, mes muscles s’adaptant peu à peu à cette présence inédite. Le lubrifiant facilite son passage. L’objet avance, tandis que l’ouverture s’élargit pour accueillir ce diamètre imposant.
Une fois l’objet pleinement enfoncé en moi, je sens mon corps s’adapter à sa présence, une chaleur s’installant au creux de mon ventre. Derrière moi, j’entends ses mouvements, le bruissement subtil de ses vêtements glissant sur sa peau. Intrigué, je relève légèrement la tête, et mon regard capte son reflet dans le miroir. Elle est debout sur le lit. Le matelas oscille sous ses pas, son équilibre cherchant un point d’ancrage. Avec une assurance presque féline, elle ajuste sa posture, plantant un pied de chaque côté de mes hanches. Lentement, elle fléchit les jambes lentement. Je la vois s’accroupir, guidant l’autre extrémité du gode dans sa chatte. Son souffle s’alourdit lorsqu’elle s’abandonne à cette union. Son bassin commence à onduler, son corps se mouvant avec une énergie viscérale, presque sauvage. À chaque mouvement, une connexion brute et puissante s’installe entre nous, comme si l’objet nous liait.
C’est elle qui guide le rythme, qui imprime une cadence à laquelle mon corps se plie. Chaque mouvement de son bassin envoie des vagues qui résonnent profondément en moi. À chaque coup, l’objet s’enfonce un peu plus loin, explorant des territoires que je n’aurais jamais imaginés. Une intensité brute s’installe, et je la sens s’aventurer au plus profond de mon être, une profondeur jamais atteinte. Mon souffle s'emballe, mes muscles se tendent, et une chaleur intense enveloppe mes sensations.
Mes parois anales brûlent doucement sous cette tension délicieuse, un mélange de plaisir et de déferlements électriques qui me submergent. Tout en moi s’embrase sous cette expérience nouvelle, bouleversante. Je ferme les yeux, m’abandonnant entièrement à ce plaisir.
Lorsqu’elle ralentit enfin, son souffle haletant emplit la pièce. Exténuée, elle se laisse tomber à côté de moi, retirant l’objet de son corps dans un mouvement fluide. Je sens à mon tour l’autre extrémité glisser instinctivement hors de mon anus, et un soulagement immédiat s’installe alors que mon corps retrouve son équilibre. Le lit semble redevenir stable, et je respire profondément, savourant cet instant de calme.
Je me retourne lentement, mon regard se posant sur elle pour la première fois. Elle est là, allongée, nue, offerte à mon observation silencieuse. Ses courbes me captivent : la ligne élégante de ses hanches, la douceur suggérée de sa peau, et la rondeur délicate de ses seins qui se soulèvent au rythme de sa respiration. Un instant suspendu où la beauté de son corps me frappe avec une intensité inattendue.
Elle remarque mon regard, ses lèvres s’étirant dans un sourire mi-amusé, mi-complice.
— Alors ? souffle-t-elle, d’une voix encore empreinte de son effort.
Je ne réponds pas immédiatement, perdu dans cette contemplation nouvelle, où chaque détail de son corps raconte une histoire que je ne connais pas encore. Ce qui capte mon attention, ce qui m’attire irrésistiblement, ce sont ses seins. Leur forme parfaite, leur symétrie délicate. Elle capte mon regard et, d’une voix douce, murmure :
— Tu peux les toucher, si tu veux.
Je suis immobile, hésitant, mes mains sont incertaines. Elle brise cette hésitation en prenant mes poignets avec une assurance tranquille, les guidant jusqu’à sa poitrine. La chaleur de sa peau m’envahit immédiatement. Sous mes doigts, sa douceur me surprend. Ce n’est rien de comparable à ce que je connais : pas de rugosité, pas de poils épais à la texture sauvage. Sa peau glisse sous mes paumes, soyeuses, presque irréelles.
La rondeur de ses seins m’intrigue, leurs courbes parfaites éveillent une fascination nouvelle en moi. Je souris malgré moi, caressant timidement ces contours, découvrant des sensations que je n’aurais jamais pensé apprécier. Elle semble percevoir ma curiosité et, doucement, elle guide ma main plus bas, glissant le long de son ventre, passant par son nombril, jusqu’à atteindre l’intimité de son entrejambe.
Ma paume effleure sa chatte, et je ressens immédiatement une texture lisse, impeccable. Sa peau, rasée avec soin, contraste avec les souvenirs que j’ai de certains compagnons occasionnels qui, parfois, adoptaient cette même habitude. Mon doigt explore, trace des lignes invisibles, jusqu’à ce qu’il trouve un passage entre ses lèvres.
Une chaleur m’enveloppe, humide, accueillante. Mon doigt avance, porté par une curiosité incontrôlée, s’enfonçant légèrement. La chaleur s’intensifie à mesure que je progresse, chaque mouvement révélant un monde inconnu. Mais soudain, une vague d’incertitude me saisit. Je retire ma main, comme par réflexe, m’écartant de cet inconnu qui me dépasse.
Elle éclate de rire, son visage éclairé d’un mélange de tendresse et d’amusement.
— Tu es adorable, dit-elle, un sourire taquin au coin des lèvres.
— Je ne vais pas te manger, ajoute-t-elle en riant doucement, voyant mon hésitation.
— Je… Je ne suis pas habitué, murmurai-je, presque gêné.
Elle me fixe un instant, ses yeux pétillant de curiosité et d’amusement.
— C’est ta première fois avec une chatte, n’est-ce pas ?
Je hoche lentement la tête, incapable de répondre autrement. Son rire éclate, franc et léger, résonnant dans la pièce.
— Bouge, ordonne-t-elle, sans la moindre gêne.
Elle s’installe face à moi, ses mouvements empreints d’une assurance presque féline. D’un geste lent et intentionnel, elle écarte ses jambes, dévoilant son intimité. Ses lèvres, douces et délicates, s’ouvrent avec une fluidité naturelle, semblables aux pétales d’une fleur en pleine éclosion.
— Vas-y, introduis-la, murmure-t-elle, sa voix à la fois encourageante et joueuse.
Je reste figé, partagé entre la curiosité et une angoisse que je ne parviens pas à dissiper. Mon regard oscille entre ses jambes, ouvertes avec une confiance désarmante, et ses yeux qui m’observent, perçants, mais patients. Voyant mon hésitation palpable, elle change de position. Avec une aisance tranquille, elle se met à quatre pattes, le dos légèrement cambré, ses mouvements calculés, mais naturels.
Avec ses mains, elle écarte lentement ses fesses, m’offrant une vue sans retenue. Son anus se dévoile, si proche de son orifice vaginal, deux invitations qui me laissent interdit. Mon regard oscille entre ces deux ouvertures, ma respiration suspendue alors qu’elle brise le silence, sa voix douce, mais empreinte d’assurance :
— Là, je te laisse choisir. La porte vaginale… ou la porte anale.
Son regard me transperce, malicieux, mais sans pression. Une chaleur monte en moi, mêlée de nervosité et d’un désir que je n’essaie plus de contenir.
— Je préfère passer par là où je me sens à l’aise, lui dis-je finalement, ma voix un peu hésitante.
Elle esquisse un sourire, un mélange de complicité et de compréhension.
— D’accord, murmure-t-elle, en se repositionnant pour me faciliter l’accès.
Je saisis le flacon de lubrifiant et incline doucement son embout au-dessus de mon sexe en érection. Le fluide froid glisse lentement, sur ma peau tendue. Je masse légèrement pour le répartir, mes gestes calmes, mes pensées concentrées. Puis je m’avance, prenant ma queue en main pour la guider avec précaution vers son anus.
Avec une lenteur calculée, je presse légèrement, laissant le bout s’introduire doucement. La chaleur qui m’accueille contraste avec la fraîcheur du gel, et je retiens mon souffle, m’assurant de ne pas aller trop vite. Mais à cet instant, elle inspire profondément, une grande respiration, avant de basculer son bassin d’un mouvement ferme. En un instant, ma queue est engloutie entièrement.
— Waouh, souffle-t-elle dans un éclat de rire malicieux. Ça, c’est ce qu’on appelle une entrée en matière.
Elle commence aussitôt à bouger, ses gestes audacieux et désinhibés. Son corps ondule, son bassin décrit des cercles qui amplifient chaque sensation. Elle prend le contrôle, remuant avec une énergie brute, sauvage, presque animale. Chaque mouvement envoie une onde de plaisir à travers mon corps, ses hanches se balançant comme celles d’une jument en pleine chevauchée. Je m’accroche à cette cadence, submergé par cette intensité inédite.
J’essaie de m’ajuster à ses mouvements, mais elle garde le contrôle, son corps menant la danse avec une assurance déconcertante. Soudain, dans un mouvement inattendu, ma queue glisse hors de son anus. Elle ajuste sa position, levant une jambe, et, dans ce geste fluide, mon pénis trouve naturellement son chemin vers son orifice vaginal.
La sensation change instantanément. Là où la pression des parois anales offrait une étroitesse intense, je découvre ici une douceur nouvelle. Les parois de son vagin, plus souples et enveloppantes, offrent une chaleur différente, moins oppressante, mais tout aussi captivante. À chaque va-et-vient, un fluide naturel accompagne mes mouvements, rendant chaque passage fluide et dépourvu de toute tension.
Je continue, découvrant une forme de plaisir que je n’avais pas anticipée. Bien que j’apprécie la sodomie et les sensations qu’elle procure, il y a quelque chose de différent, presque noble, dans cette connexion vaginale. Un mélange de découvertes et d'excitation qui me submerge totalement.
Une pression monte soudain en moi. Mon souffle se suspend alors que mon corps cède à l’intensité du moment. Je ressens le liquide remonté dans mes canaux, ma queue se durcissant davantage avant que mon sperme jaillisse en elle, en plusieurs vagues chaudes et libératrices. La sensation est amplifiée, chaque mouvement rendant l'expérience plus sensorielle, plus enveloppante.
— Waouh… C’est… c’est…, soufflé-je, incapable de terminer ma phrase, encore emporté par cette vague d’émotions et de plaisir.
Je reprends lentement ma respiration, sentant mon cœur ralentir après l’intensité de ce moment. Je m’allonge sur le dos, le regard fixé au plafond, encore enveloppé par les sensations qui vibrent en moi. Elle se glisse à mes côtés, son corps chaud pressé contre le mien, et tourne son visage vers moi, un sourire malicieux éclairant ses traits.
— Alors, c’était comment ? demande-t-elle d’un ton taquin, ses yeux pétillant de curiosité.
Je détourne les yeux un instant, cherchant mes mots, avant de souffler :
— Différent… mais tellement bon.
— Tu n’avais jamais…
Sa question reste en suspens, mais je comprends ce qu’elle veut dire. Je secoue doucement la tête.
— Non, jamais, avoué-je, un peu gêné, la voix hésitante.
Elle éclate de rire, un éclat léger, plein de fierté et d’amusement. Ses doigts glissent doucement sur mon torse, dessinant des cercles invisibles.
— Eh bien, dit-elle en souriant, je crois que je viens de dépuceler un gay.
Un rire nerveux m’échappe, et, malgré moi, je souris aussi. Il y a quelque chose dans sa légèreté, dans sa manière d’aborder ce moment, qui fait retomber toute gêne. Elle se blottit contre moi, son souffle se mêlant au mien. Dans ce silence partagé, je me laisse envelopper par une sensation de calme et d’étrange satisfaction.
Soudain, sa main glisse sur ma peau, effleurant doucement mon ventre avant de descendre jusqu'à mon pénis encore poisseux, recouvert d’un mélange intime de mon sperme et de ses sécrétions. Elle joue avec cette texture, ses doigts traçant des mouvements lents et précis qui réveillent déjà en moi une nouvelle vague de sensations. Elle ne dit rien, mais son silence est chargé de sens. Lentement, elle avance sa tête, ses cheveux glissant comme une plume contre mon bas-ventre, provoquant de légers frissons. Puis, sa langue, chaude et délicate, effleure ma queue. Ce premier contact me fige, comme si tout s'arrêtait autour de nous. Elle prend son temps, explorant chaque pli, chaque recoin de ma peau avec une précision tranquille, et je m’abandonne complètement à ce moment. Rien ne lui échappe, sa langue effleurant les moindres reliefs, glissant doucement sous chaque veine comme pour effacer toute trace de ce qui restait. Sa minutie a quelque chose de presque artistique, chaque geste mesuré éveillant en moi des sensations nouvelles.
L’apaisement qu’elle m’offre se mêle peu à peu à une montée de plaisir inattendue. Mon corps réagit à sa douceur, et je sens mon sexe se raffermir sous ses soins attentifs. Ce mélange de tendresse et de désir me laisse sans voix, totalement abandonné à ses gestes qui réveillent en moi une énergie que je croyais épuisée.
Sentant mon excitation renaître, elle englobe ma queue dans sa bouche. De petits jets continuent de s’échapper de mon pénis, des traces de ma libération précédente qu’elle avale avec une aisance troublante. Chaque mouvement de sa langue, chaque pression de ses lèvres, ranime en moi un désir que je pensais éteint, un feu qui refuse de s’éteindre.
Puis, sans un mot, elle se redresse, se tourne vers moi et se place à califourchon. Ses yeux croisent les miens, un mélange de détermination et de désir dans son regard. Elle saisit ma queue encore rigide et, dans un geste fluide, la guide en elle. La chaleur humide de son intimité m’enveloppe à nouveau, et elle commence à bouger, ses hanches s’élançant dans un rythme instinctif.
Elle monte et descend, telle une cavalière maîtrisant sa monture, ses mouvements empreints d’une énergie animale. Les claquements de nos corps résonnent dans la pièce, amplifiés par le mélange de sperme et de ses sécrétions qui s’échappe à chaque va-et-vient. Un bruit distinct, "slaque, slaque", emplit l’air, témoin de cette union brutale et viscérale.
Mon corps réagit, une dernière vague de plaisir monte en moi, inévitable. Je sens mon sperme se propager à travers mes canaux, jusqu’à jaillir en elle, s’ajoutant à ce mélange déjà abondant. La chaleur s’intensifie une dernière fois avant que mon corps ne cède à l’épuisement. Mon pénis se ramollit lentement, glissant hors d’elle alors qu’elle s’immobilise, essoufflée, mais satisfaite.
Elle me fixe, son regard ancré dans le mien, une intensité douce, mais irrésistible dans ses yeux. Lentement, elle se penche et se couche sur moi, son corps s’épousant parfaitement au mien. Nos lèvres se rencontrent dans un baiser tendre, empreint d’une douceur inattendue. Ce n’est pas juste un geste, c’est un échange d’intimité, une reconnaissance silencieuse de ce que nous venons de partager.
Puis, lentement, ses mains glissent jusqu’à ma tête, ses doigts se mêlant à mes cheveux. Elle s’allonge sur le dos dans un mouvement fluide, son corps s’étirant doucement contre le drap. Ses mains exercent une pression douce, mais déterminée, me guidant vers le bas. Un instant, je reste interdit, ne comprenant pas immédiatement ce qu’elle attend. Ma tête descend le long de son corps, entre ses jambes et bientôt, je me retrouve entre ses cuisses. Ses lèvres intimes, à demi ouvertes, brillent encore du mélange de nos fluides, leur éclat gélatineux attirant mon regard.
Elle pousse légèrement ma tête, avec une détermination tranquille, jusqu’à ce que ma bouche soit tout contre sa chatte. D’une voix douce, mais directive, elle murmure :
— Vas-y… lèche-moi.
Ma langue tâtonne sa peau encore imprégnée de cette matière humide et gluante, mélange de nos fluides mêlés. Le goût qui envahit ma bouche est unique, légèrement salé, mais pas désagréable, éveillant une curiosité nouvelle. Je continue d’explorer, ma langue glissant sur et entre ses lèvres, retraçant chaque contour avec lenteur. Peu à peu, les saveurs deviennent plus intenses, un mélange subtil dans lequel je distingue même des notes de mon propre sperme.
Ma langue, presque instinctivement, trouve un point particulier, une petite aspérité juste au sommet de ses lèvres. À chaque contact, son corps réagit violemment, des tremblements parcourant sa silhouette. Ses gémissements s’intensifient, et ses hanches se soulèvent comme pour chercher davantage de ce contact précis.
Je décide d’insister sur ce point sensible, jouant avec ma langue dans un rythme régulier, et, bientôt, des contractions plus profondes se font sentir à travers son corps. Elle ne peut plus se contenir. D’autres fluides s’échappent, glissant le long de mes lèvres, dégoulinant sur mon menton et s’écrasant sur les draps en dessous. Ses gémissements deviennent des cris incontrôlés. Elle semble à bout de souffle, ses jambes tremblent violemment, son corps entier s’abandonnant à cette vague incontrôlable.
Et puis, sans prévenir, un jet puissant jaillit. Je recule instinctivement, surpris, alors que le liquide m’asperge le visage. Un silence s’installe, interrompu par un rire nerveux venant d’elle. Elle se redresse légèrement, gênée, son visage rougissant tandis qu’elle bafouille des excuses.
— Désolé … je n’ai pas pu me retenir.
Je l’observe, un sourire naissant doucement sur mes lèvres. Sans un mot, je m’essuie lentement le visage, prenant soin de ne rien brusquer. Puis je me rapproche, mes mains venant trouver les siennes. Nos doigts s’entrelacent, et je plonge mon regard dans le sien, cherchant à dissiper le poids de sa gêne.
— Ce n’est rien, dis-je doucement, sincère. Ce moment est unique, naturel… et magnifique.
Elle me fixe, son expression oscillant entre surprise et soulagement. Mon sourire s’élargit, et je dépose un baiser léger sur son front, puis un autre, plus appuyé, sur ses lèvres. Je sens son corps se détendre sous le mien, ses épaules se relâcher.
— Tu n’as pas à te retenir avec moi, ajouté-je dans un murmure contre son oreille. Je veux tout de toi, sans réserve.
Elle sourit enfin, un sourire vrai, sans artifice, et se blottit contre moi. Nos corps s’entrelacent, sa chaleur m’envahissant à nouveau. Dans ce moment suspendu, il n’y a plus ni honte ni retenue, seulement une connexion sincère et entière. Et, alors que nos respirations s’apaisent, je réalise que c’est exactement là que je veux être : avec elle, dans cet instant de vulnérabilité partagée, où tout semble possible.

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