NOUVELLES EROTIQUES Tome 2 (2025)
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5 - L'étudiante et le feu du désir
J’ouvre la porte. Elle est là, assise sur la cuvette, une main glissée entre les cuisses. L’autre caresse sa poitrine. Son souffle saccadé emplit l’air. De faibles gémissements courts s’échappent d’elle. Des cris de plaisir.
Puis un sursaut. Ses doigts glissent hors d’elle. Elle se redresse d’un coup tente de couvrir son sexe, l’autre main crispée sur son haut. Trop tard. J’ai tous vu. Nos regards se croisent.
Ses lèvres s’ouvrent, prêtes à parler, rien ne sort. Je détourne le regard. Ma gorge se serre. Je referme aussitôt.
— « Désolé… »
Aucune réponse. Je reste là, le front contre le bois. Le silence m’enveloppe.
Je parle, sans hausser le ton :
— « Ne sois pas gêner. C’est naturel. »
La poignée tourne, lentement.
Elle sort, sans un mot. Ses mains cherchent ses poches, tirent sur son haut. Elle évite mes yeux.
— « Je me sens confuse… »
Elle passe devant moi, la tête basse. Comme une enfant prise en faute. Un parfum humide reste dans l'air.
Je souris et lui murmure.
— « Aucun jugement. On passe tous par là. »
Elle traverse le couloir. Sans un mot. Rejoint le salon. Mon fils l’attend, concentré, le stylo en équilibre dans sa main.
Elle se réinstalle, calme, effacée. Sans le vouloir, mon esprit rejoue la scène. Un frisson discret me traverse. Je souris. Elle s’est abandonnée, là, tout à l’heure. Un instant de plaisir. Dans les toilettes. Je me tais. Je les laisse poursuivre le cours.
Quand le cours se termine, je l’accompagne jusqu’à la porte. Mon fils passe devant nous.
— « Tu vas où ? »
— « Tu le sais, chez Marc, ce soir. »
Je pousse un soupir.
— « Encore un week-end seul… »
Il esquisse un sourire, ne répond rien. Ils franchissent le seuil, disparaissent dans l’ascenseur.
Je referme. La serrure claque. Seul, encore. Je tourne les talons.
Trois coups résonnent. Contre la porte. Je déverrouille. Elle se tient là.
Emma. L’étudiante. Les yeux baissés. Elle me dit :
— « J’ai oublié quelque chose sur la table. »
Je m’écarte. Elle entre. Ses pas glissent vers la pièce principale. Ses yeux fouillent la table.
Puis, sans prévenir, son corps se brise. Elle s’effondre. Les sanglots éclatent, étouffés dans ses mains. Je reste figé. Muet. Incapable de bouger.
Je ne comprends pas. Je m’approche, lentement, sans oser. D’un coup, elle se jette contre moi. Ses bras m’enlacent. Son corps se colle au mien. Ses doigts s’agrippent à mon bassin. Sa poitrine écrase la mienne. Sa chaleur me traverse.
Mes mains se posent sur ses hanches. Son visage se détache lentement de mon épaule. Sa joue garde encore la trace humide des larmes. Ses yeux croisent les miens.
Sa bouche s’approche, lente, hésitante. Nos lèvres se frôlent. Elle m’offre un baiser.
Je lui rends le même.
Ses doigts glissent sous mon t-shirt. Sa paume effleure ma peau.
Mes mains descendent le long de ses hanches, puis dessinent les courbes pleines de son derrière, moulées dans jeans.
Je pousse ses fesses avec mes paumes. Je l’attire contre moi. Sa bouche s’ouvre plus largement. Ma langue trouve la sienne. Nos fluides se mélangent.
Ses doigts tirent sur mon t-shirt. Mon torse se découvre. Elle caresse mon ventre, doucement, explore chaque creux, chaque muscle. Sa main remonte, frôle mes tétons. Les pince, les relâche.
Elle joue. Elle cherche. Elle me défie.
Je la fixe.
— « Pourquoi ? »
Elle ne répond pas tout de suite. Ses yeux brillent. Sa bouche tremble à peine.
— « J’ai confiance en vous. »
Ses mots glissent entre nous, chargés, lourds. Comme une clé qu’on dépose. Une porte qui s’entrouvre.
Je fixe son visage juvénile. Ma paume effleure sa joue, suit le tracé humide des larmes. Elle pose sa main sur la mienne. Ses paupières tombent. Un souffle, léger, comme un rêve éveillé.
Elle guide mes doigts sous son pull. Sa peau me brûle. Ma main suit les courbes, frôle la chaleur de sa poitrine. Aucune barrière. Ses seins, libres, se dressent sous mes paumes. Chair offerte. Chair vivante.
Je la dénude. Son pull tombe. Elle se tient là, le torse levé, les pointes du désir tendues vers moi. Je les caresse, les presse doucement, les explore.
Sa respiration change. Elle soupire.
Je m’approche. Ma langue glisse sur sa gorge, puis descend, effleure la courbe, s’attarde sur l’aréole. Son téton se durcit sous ma bouche. Je le prends entre les lèvres, lentement, sans violence.
Elle gémit. Son corps bouge, cherche l’appui, l’abandon. Un feu monte en elle, et je le sens contre moi.
Elle me repousse d’un geste brusque. Ses doigts ouvrent son jean, le glissent jusqu’à ses chevilles. Elle le pousse du pied, l’envoie plus loin. Elle s’avance, silencieuse. Elle décroche ma ceinture, défait le bouton, abaisse mon pantalon.
Ses yeux descendent. Elle aperçoit la bosse sous mon boxer. Un sourire naît sur ses lèvres. Sa main s’y pose. Un frisson traverse mon corps.
Son visage s’illumine. Nos regards se croisent. Une lueur trouble brille dans ses yeux.
Je me penche. Mon torse touche le sien. Mes mains glissent sur ses bras, remontent sa nuque, redescendent le long de son dos Je poursuis. J’atteins ses hanches, puis la courbe pleine de ses fesses.
Puis je les fais glisser vers l’avant, jusqu’au tissu fin de sa culotte. Mon doigt remonte la ligne entre ses cuisses. S’enfonce dans la pliure. La chaleur traverse le coton. Le tissu s’humidifie.
Je souris. Elle aussi.
Je recule d’un pas.
Elle attrape l’élastique, le tire vers le bas. La culotte glisse le long de ses cuisses, puis ses jambes. Elle pose ses mains entre ses jambes, pour me cacher ce qu’elle vient de dévoiler.
Je m’approche. Je la prends par les bras. Je serre. Elle se débat, sans force. Elle joue. Elle sait que je joue aussi.
Son regard me le confirme. Elle tente de fuir. Je la retiens. Son corps bascule, sans violence. Elle tombe à genoux, sur le tapis.
Je m’avance. Ses mains cherchent l’équilibre. Je pose ma main sur sa tête. Je l’attire contre mon bassin.
Ma bosse presse son front. Elle comprend. Ses doigts s’activent, tirent sur l’élastique. Le tissu tombe. Ma queue se libère, tendue, droite, offerte.
Ses yeux s’écarquillent. Pas de peur. De curiosité. De faim.
Ses lèvres frôlent ma verge, l’explorent. La langue suit. Le contact me fait trembler. Sa bouche s’ouvre. Le gland s’y glisse. Elle le goûte, le prend, le garde.
Son souffle s’accélère. Son corps bouge. Elle me suce avec une ardeur neuve, instinctive. Sans pause. Sans peur.
Je pose mes mains sur sa tête. Je guide son rythme. Ma queue glisse plus loin, plus profond. Elle gémit, se cambre. Ses mains s’agrippent à mes cuisses. Son souffle se mêle à ma chaleur.
Je l’enfonce, lentement, puis plus franchement. Elle me suit, sans reculer. Son cou se tend, sa gorge m’accueille. Sa salive coule sur mes cuisses. Son regard me fixe, rouge de fièvre, pas de peur.
Ses dents frôlent ma peau. Elle serre, juste assez pour me faire lâcher. Je retire mes mains. Elle recule, bascule sur le tapis, haletante. Son ventre se soulève, son souffle court.
Ma queue garde la trace de sa morsure, fine, brûlante. Elle sourit, les lèvres brillantes. Un défi muet.
J’avance. Elle me fixe, les yeux fous, brûlants.
Une furie. Je lève la main. Ma paume claque sur sa joue. Sa tête part sur le côté.
Elle revient aussitôt, les yeux étincelants. Mais le sourire lui dévore le visage. Un éclat sauvage. Elle me pousse sans prévenir. Je tombe, le dos contre le canapé.
Elle grimpe sur moi, jambes ouvertes, dos droit. Elle s’accroupit lentement.
Sa main monte à sa bouche. Elle la lèche, l’humidifie, sans gêne. Puis la glisse entre ses cuisses. Pour prépare l’entrée. Ses doigts attrapent ma queue, la tiennent, la guident.
Elle pousse, d’un seul élan. Un cri jaillit de sa gorge. Court. Brut.
Je lève les yeux, inquiet. Son visage se crispe. Mais elle insiste. Elle s’empale, centimètre après centimètre. La douleur la traverse. Elle grogne, hurle presque. Comme une louve qu’on ne peut dompter.
Son regard plante le mien. Pas de peur. Pas d’appel au secours. Juste cette rage de sentir, de posséder, d’aller jusqu’au bout.
Ça y est. Elle m’engloutit, entièrement.
Alors, elle bouge. Son bassin ondule, cherche un rythme.
La pénétration s’accompagne de gémissements étouffés. À chaque va-et-vient, son visage se crispe.
Douleur ? Jouissance ? Je l’ignore. Peut-être les deux. Le plaisir arrache parfois des grimaces.
Je la laisse diriger. Je la regarde se tordre sur ma queue. Ses seins bondissent, roulent, dansent. Je pose mes mains sur ses hanches. J’accompagne le mouvement, sans forcer. Je gémis, moi aussi. Sa chatte me serre, m’enlace. Ma verge palpite, gonflée à bloc. Chaque frottement me traverse de part en part. Je retiens mon souffle. Son corps me prend, me dévore.
Soudain, la pression monte. Ma verge se tend au bord de l’explosion. Je tente de retenir. De garder ce feu en moi. Juste un peu plus.
Trop tard. Je lâche. Un flot brûlant jaillit en elle.
Ma gorge se serre. Un râle m’échappe. Puis un autre. Tout s’échappe. Je tremble. Je suis vidé.
Elle s’arrête. Son souffle court, saccadé. Exténuée, comme moi.
Ma queue, ramollie, glisse hors d’elle. Un frisson me traverse.
Elle se laisse tomber à mes côtés, sur le canapé. Son torse se soulève, ses paupières mi-closes.
Je reprends mon souffle. La sueur me coule dans le dos. J’ouvre les yeux. L’extase flotte encore autour de moi. Mon esprit peine à redescendre.
Je baisse la tête. Mon regard tombe sur mes cuisses. Une trace rouge y coule, fine, vive. Un filet épais se mêle au sperme et aux sécrétions. Ce sang me fige.
Et là… ces fragments pâles sur ma verge. Des lambeaux, minuscules, blanc, presque transparents.
Je tourne lentement la tête vers Emma.
— « Ça va ? »
Elle halète, le corps trempé de sueur. Un sourire fend son visage.
— « Oh oui… quelle claque de plaisir. »
Ma main se pose sur sa cuisse, sans y penser. Sa peau brûle. Moite, humide. Je baisse les yeux, entre ses jambes. Une trace rouge descend le long de sa cuisse.
Je sursaute. Me redresse.
— « Tu saignes ? »
Elle éclate de rire, sans gêne.
— « Oh oui. C’était serré… mais bon, putain, que c’était bon. »
— « Je t’ai blessée ? »
— « Oui. Un peu. Mais j’ai joui quand même. »
À cet instant, un mélange épais, sang et sperme, s’échappe lentement de son sexe.
— « Je dois t’emmener aux urgences. »
— « Non… t’en fais pas. J’ai eu… les machins. »
— « Tu pouvais me prévenir. »
— « Je savais pas non plus. Je crois que quand tu m’as… ouverte, tout est parti d’un coup. »
Je la fixe.
— « Attends. Tu étais vierge ? »
— « Plus maintenant. »
Un silence. Je baisse les yeux.
— « J’aurais dû… être plus doux avec toi. »
Elle secoue la tête, farouche, encore brûlante.
— « Non. C’était parfait. Quand tu m’as giflée… j’ai mouillé. Direct. »
Je la regarde. Ses yeux brillent. Son corps tremble encore.
— « Alors si t’as pris ton pied… je suis content. »
Je lui tends la main.
— « Viens. »
— « On va où ? »
— « Je vais te laver, ma puce.
Elle sourit. Je la tire contre moi. On avance, peau nue, vers la salle d’eau. Je saisis le pommeau. L’eau coule, tiède. Je dirige le jet sur son corps.
Ma paume s’ouvre. Je verse du savon liquide dans ma main.
Puis je le fais glisser sur elle. Je parcours chaque centimètre. Je lave. Je caresse. Je remonte le long de ses épaules, de ses bras, de sa taille. Sa peau réagit.
Par moments, des frissons la traversent. Elle frémit. Des perles apparaissent sur ses bras. La chair se hérisse.
Je descends entre ses cuisses. Elle s’accroupit, en silence. Je dirige le jet entre ses jambes. Un souffle léger s’échappe de sa bouche. Elle sourit, secouée par de légères secousses. Des chatouilles, des picotements.
Des restes de plaisir. Elle ferme les yeux. Je continue, lentement.
La voilà propre.
Puis elle prend le relais. Ses mains glissent sur moi, savonneuses, sûres. Quand elle atteint ma verge, elle s’épaissit sous ses doigts. La chaleur aussi.
Ses caresses deviennent plus lentes. Sa main entoure mon sexe. Le mouvement le durcit. Elle s’abaisse.
Ses lèvres l’engloutissent. Le désir remonte, violent, précis. Je la prends par les bras. Je la redresse.
Elle se tourne. Se cambre. Courbe son dos. Son bassin s’offre, haut, tendu.
Elle écarte ses fesses, silencieuse.
Puis murmure :
— « Prends-moi ».
Je m’avance. Ma queue glisse entre ses fesses. Son corps frémit.
— « Te trompe pas de trou… »
Sa voix tremble, joueuse. Elle m’a senti approcher. Juste là, à l’orée de ce passage interdit.
Elle écarte un peu plus ses cuisses. Je descends. Ma queue glisse, cherche l’entrée. Je la pénètre. Des coups puissants. Profonds.
Son dos se tend. Elle grimace, gémit, s’abandonne. Ses gémissements se brisent sur mes mouvements. Je m’enfonce une dernière fois. Et je décharge en elle. Un jet chaud, fort, jusqu’au fond. Elle s’extasie, haletante, les lèvres entrouvertes.
Je me retire. Ma queue s’échappe, mouillée, fatiguée.
Elle s’agenouille. Je prends son visage entre mes mains. Elle ouvre la bouche. Elle me suce, doucement. Les dernières gouttes. Elle me vide jusqu’au bout.
Un dernier tour d’eau sur nos corps. Je sors de la douche. Je lui tends une serviette. Je l’essuie, lentement. Elle me rend le geste. On marche ensemble vers la chambre. On s’allonge, côte à côte. Je glisse mes doigts sur ses courbes. Je suis la ligne de ses hanches, le dessin de son ventre, la courbe de ses seins.
Je la regarde. Elle me fixe, sans un mot.
Ses yeux brillent, pleins d’éclats doux.
Ses doigts effleurent ma peau, légers, timides. Puis elle murmure :
— « Merci. »
Sa voix tremble à peine. Elle ajoute, plus bas, presque pour elle-même :
— « … de m’avoir dépucelée. »
Je hoche la tête, lentement. Je reste silencieux, touché. Elle continue :
— « Tu m’inspires confiance. Tu me regardes sans juger. Et tu me fais sentir que je peux être moi… sans honte. »
Je cligne des yeux. Ces mots me serrent la poitrine.
Elle rougit, puis sourit, fragile.
— « Quand tu m’as vue me masturber… tu ne m’as pas jugée. Alors j’ai compris que tu étais quelqu’un de bien. »
Je souris à mon tour. Je l’embrasse sur le front, doucement. Ma main glisse le long de son bras, cherche sa main.
— « La masturbation, c’est quelque chose de naturel. Il ne faut pas en avoir peur. »
Elle me fixe à nouveau.
— « Et toi ? Tu te masturbes encore ? »
Je ris, sans moquerie.
— « Tu vois… j’ai cinquante-huit ans. Une femme, une maîtresse, des amies. Et oui, je me masturbe encore. »
Elle semble intriguée, curieuse.
— « Pourquoi ? »
Je caresse ses doigts.
— « Pour le plaisir. Pour me retrouver. »
Elle sourit. Elle ferme les yeux un instant.
Je me penche, plus près. Je murmure :
— « Il n’y a rien de mal à se faire du bien. »
Je la sens se détendre. Sa main cherche la mienne.
Elle se rapproche, sans un mot. Pose la tête contre mon torse. Et s’abandonne aux battements de mon cœur. S’endort.
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