NOUVELLES EROTIQUES Tome 2 (2025)

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6 - Le loup et la cochonne

 

Je pousse la porte. Elle m’attend. Nue. Étendue sur le lit, jambes croisées, le dos calé contre les oreillers. Un livre repose entre ses mains. Le silence autour d’elle pèse. Elle m’entend. Son corps s’étire, lentement : les bras d’abord, puis les jambes. Elle referme le livre, le pose sur la table de chevet sans détourner les yeux. Un frisson me parcourt. Elle me fixe. Sa voix, rauque, tendue de désir. Me murmure.

  • « Baise-moi. »

Je souris. Je m’arrête au pied du lit. Je la contemple. Elle ne joue pas. Elle appelle. Je m’avance, lentement.

  • « Tu veux vraiment, là, maintenant ? »

Elle incline la tête, ses yeux brillent.

  • « Je te veux. Ici. En moi. Tout de suite. »

Je retire mes vêtements, sans la quitter des yeux. Puis je la rejoins. Nos peaux se frôlent. Mes mains glissent sur ses cuisses, remontent vers son ventre, effleurent la base de ses seins.

Elle ferme les yeux.

  • « Tu veux qu’on baise comme d’habitude ? »

Elle fronce les sourcils, les yeux à demi clos.

  • « Pourquoi tu demandes ? »
  • « J’ai envie de t’explorer autrement. »

Son regard remonte vers moi. Silencieux, chargé. Elle ne répond pas tout de suite. Son souffle ralentit. Puis je lui souffle.

Je me penche, mes lèvres frôlent sa tempe. Je lui souffle, tout contre sa peau :

  • « Trois mois à plonger dans tes yeux. Maintenant, j’ai envie de découvrir ce que ton dos me cache. »

Ses lèvres se pincent, à peine. Son regard glisse sur moi, du torse jusqu’à mon sexe dressé. Elle murmure, presque sans voix :

  • « Je suis toute à toi. »

Je passe ma main dans ses cheveux, doucement. Je l’embrasse sous l’oreille. Elle ferme les yeux, s’abandonne un peu plus à mon souffle, à ma présence.

  • « Tourne-toi. »

Elle bouge sans un mot. Se retourne, lentement. Elle s’allonge sur le ventre, pose sa joue sur l’oreiller, écarte légèrement les jambes. Son dos se déploie sous mes yeux. Ses reins se soulèvent à peine, dans une courbe offerte, silencieuse.

Je glisse un coussin sous son bassin.

  • « Comme ça ? »

Ses fesses se dessinent sous mes yeux. Je les effleure du bout des doigts. Un soupir entre les lèvres.

  • « Continue… »

Je m’agenouille derrière elle. Mes mains s’aventurent sur ses hanches, glissent sur la ligne de sa colonne, redescendent entre ses fesses. Je les écarte, lentement. Sa peau respire contre ma bouche. Ma langue se pose sur sa raie, lente, précise, dévouée.

Elle gémit. Son corps répond. Par des frissons. Par le creusement léger de ses reins.

  • « Ne t’arrête pas… »

J’obéis. Je lèche, je goûte, je savoure. Ma langue dessine sur sa peau, lente, précise, dévouée. Je murmure, bas, presque pour moi :

  • « Je n’avais jamais remarqué le galbe de tes fesses … »
  • « Quoi ? »
  • « Un paysage qu’on contemple en silence. »
  • « Tu es devenu poète ? »
  • « Non. Explorateur. »

Mon doigt suit la ligne entre les fesses, s’y glisse sans forcer, porté par la pente.

Ses cuisses s’écartent à peine, comme deux collines vivantes prêtes à se laisser traverser. Puis sous un sourire, elle murmure.

  • « Tu t’enfonces dans la vallée ? »
  • « Une vallée étroite… profonde. »
  • « Tu t’y perds ? »
  • « Je m’y trouve »

Mes mains écartent ses fesses. Ma langue descend, lentement, s’étale entre ses courbes. Je trace. Je dessine. Je cartographie.

Sa peau frissonne sous ma bouche.

  • « Humm… Ce contact… Tu me retournes la peau. »

Je m’attarde. Ma langue joue, explore, insiste. Elle gémit à nouveau. Ses fesses s’ouvrent, légèrement, dans une offrande silencieuse.

Je glisse un doigt dans le sillon.

  • « Oh… »
  • « Qu’est-ce qu’il y a ? »
  • « T’es arrivé tout au bout… »
  • « Laisse-moi voir. »

J’écarte les fesses, un peu plus. Je découvre l’entrée d’une cachette secrète.

  • « Tu fais quoi ? »
  • « De l’exploration. »

Je m’attarde là, juste à l’entrée, au fond de la vallée. Ma langue tourne, presse, insiste. Je sens ses muscles se contracter sous moi, vibrants, réactifs. Elle pousse encore le bassin en arrière, plus fort, comme pour m’engloutir.

  • « Continue… reste là. Ne bouge plus… »

Je m’exécute. Je lèche. Encore. Toujours. Sans relâche. Ma langue insiste. Mon souffle se mêle à sa chaleur.

Puis, lentement, mon doigt descend. Il frôle ce point. Le touche. Le masse, avec douceur.

  • « Ooh… fais attention… c’est peut-être dangereux… »
  • « Tu me connais… Je suis un explorateur obstiné. »
  • « Oooh… oui… j’avais bien remarqué ça… »
  • « Tu crois que la propriétaire me laissera entrer ? »
  • « Tu vas un peu vite… C’est sombre là-dedans. Mal éclairé. Peut-être dangereux… »
  • « Moi, j’aime les zones dangereuses. »
  • « Tu es trop aventurier… »
  • « Et toi, tu caches des trésors dans tes terres interdites. »

Elle sourit, les fesses se serre sous mon souffle.

  • « Tous les trésors ne sont pas faits pour être trouvés… »
  • « Je n’entre pas sans invitation. »

Son bassin se détend légèrement. Son souffle s’accélère. Son silence devient promesse. Mon doigt approche. Je le pose sur l’anus. Je tapote doucement.

  • « Toc, toc… »

Elle sourit.

  • « Qui est là ? »
  • « Le loup. » »
  • « Oh là là… j’ai peur…
  • « N’ayez crainte, madame. Je suis un gentil loup. »
  • « Je trouve que vous avez une grande langue… »
  • « C’est pour mieux vous lécher… »
  • « Et de longs doigts… »
  • « C’est pour mieux vous pénétrer. »

Elle rit, mi-voix, gorge tendue.

  • « Pénétrer… comment ça ? »
  • « Laissez-moi vous montrer… »

Elle serre les fesses.

  • « Attention, monsieur le loup… »

Je la caresse lentement, doucement.

  • « Détendez-vous, madame. Je ne suis là que pour une exploration… juste pour évaluer le danger. »
  • « J’ai peur… »
  • « On peut choisir un mot magique. Si vous le prononcez, j’arrête tout, et je disparais sans un bruit. »
  • « Un mot magique ? Lequel ? »

 

  • « Camembert. »

Elle rit.

  • « Camembert ? Sérieusement ? »
  • « Justement. Je doute que vous le prononciez par accident pendant… l’expédition. »
  • « C’est vrai… Mais la cachette n’a jamais été exploré. »
  • « Vous voulez dire que je suis le premier ? »
  • « Oui. »
  • « Alors j’irai doucement. Sans forcer. Juste le temps d’y planter mon drapeau.»
  • « Quel drapeau ? »

Je souris. Je me redresse légèrement. Elle se tourne, jette un œil vers moi…

  • « Celui que je porte… bien dressé. »

Puis s’exclame :

  • « Mon dieu… il est énorme. Vous allez me faire mal. »
  • « Il connaît les protocoles. Il attend le feu vert. »
  • « Et s’il y a des résistances ? »
  • « Il se replie. Il écoute. Il respecte le terrain. »
  • « Et s’il est accueilli ? »

Je caresse ses reins, ses hanches, lentement. Ma voix descend, plus grave.

  • « Alors il s’enracine. »

Elle prend une grande respiration. Ses joues rougissent. Puis s’interrompt.

  • « D’accord… mais envoyez un éclaireur, d’abord. » d’un ton ferme

J’éclate de rire.

  • « Très bien, madame… L’éclaireur est en route. »

Elle m’observe, intriguée. Ses yeux cherchent à lire mes intentions. Son souffle suspend le temps. Je prends le gel. Une noisette fraîche s’échappe sur mon doigt.

Je l’approche. Dépose une larme lisse sur l’entrée, au creux de cette rainure fine, profonde, entre ses collines écartées. Mon doigt glisse lentement, suit la pente.

À l’approche de l’ouverture, ses muscles se contractent, instinctivement. Je ne pousse pas. Je tourne autour. J’effleure. Je dessine.

L’éclaireur se place devant la porte. La porte est close. Elle angoisse.

Je me penche, souffle sur sa peau.

  • « Respire… Lâche prise… »

Elle inspire profondément, puis expire, longue, lente. Son bassin se détend. Son dos s’assouplit.

Je le sens. La porte s’entrouvre. À peine. Je glisse. Doucement. L’éclaireur s’engouffre.

Un soupir traverse sa gorge. Une grimace, brève, passe sur son visage. Le seuil résiste encore. Puis le passage cède.

La porte grince. Encore et encore. Puis Une dernière fois, puis se tait. Mon doigt entre. Reste. Ressort. Revient. Le va-et-vient s’installe. Lent, patient.

Elle gémit. Son souffle s’accélère. À chaque passage, les parois s’adaptent, s’ouvrent, s’assouplissent. L’éclaireur continue son exploration, de plus en plus profondément. Le passage respire. Il s’ouvre désormais. Plus rien ne bloque. Plus rien ne résiste. Le corps accueille.

Elle est détendue. Relâchée.

Elle savoure chaque instant, chaque mouvement, chaque lente poussée qui l’ouvre un peu plus.

Et puis, sans prévenir, un deuxième éclaireur s’approche. Il avance, suit la trace du premier. Mais l’entrée résiste. Grince légèrement.

Ils forcent. Ça passe. Pas sans un cri.

  • « Aïe… ça fait mal …

Je pose la main sur sa fesse. La caresse, lentement. Ma voix glisse comme un baume :

  • « Tout va bien. La porte était plus étroite que prévue … elle s’ouvre maintenant. »

Elle souffle, tendue entre deux sensations. Mais son corps s’adapte. La résistance s’efface, s’apaise. Et bientôt, les deux éclaireurs entrent ensemble, sans heurts. Le passage les accepte, chaud, vivant, vibrant.

Les grincements deviennent souvenirs. Le corps s’est ouvert. Il appelle. Il accueille. Il veut plus.

Je retire mes doigts avec lenteur. Le temps reste suspendu. Elle se pose, s’étale, le corps lourd de plaisir et d’attente.

Je me lève, sans un mot. J’attrape le gel. Je lubrifie ma verge, lentement, méthodiquement. Ses yeux suivent chaque geste, chaque détail. Elle ne cligne pas. Elle guette.

Je remonte sur le lit. Je m’agenouille derrière elle. Ses reins se cambrent à nouveau, sans bruit. Une offrande muette. Je m’approche. Mon sexe dur, luisant de gel, palpite dans ma main. Je le pose doucement à la naissance de ses fesses, puis je trace une route entre ses courbes.  Je glisse le long de la rainure.

Et me voilà… juste là, devant l’entrée. Elle ne dit rien. Mais elle pousse légèrement le bassin en arrière. Un oui sans mot. Un feu vert du corps. Je m’aligne. Je pousse. Doucement.

La tête passe. L’anneau s’écarte. Lentement. Elle gémit. Sa nuque se tend. Sa main agrippe le drap. Puis, soudain, elle serre les fesses, son souffle s'accroche.

  • « Respire… détends-toi… »

Je pousse à peine, juste pour sentir la tension, comprendre ce que son corps dit.

Mais alors, d’un coup, elle crie :

  • « Camembert ! »

Je m’arrête immédiatement. Je me retire. Entièrement.

Je pose ma main sur sa hanche, l’autre dans le creux de son dos, pour la contenir, la calmer, l’envelopper.

  • « Ça va ? Je t’ai fait mal ? »

Elle reste silencieuse quelques secondes. Son souffle court, son dos encore tendu. Puis elle se retourne lentement, un demi-sourire aux lèvres.

  • « C’était juste… un test. Je voulais voir si tu t’arrêterais vraiment. »

Je la fixe, sans parler. Mon visage reste sérieux, peut-être un peu fermé. Elle me regarde, un éclat malicieux dans les yeux.

  • « Oh… tu fais la tête ? T’es vexé ? C’est mignon, ton petit air de mec trop responsable… « 
  • « Je croyais que je t’avais fait mal… »
  • « Mais oui, ça fait mal. Tu t’attendais à quoi ? »

Je baisse un peu la voix.

  • « Tu as dit le mot ... »

Elle ferme les yeux. Son corps se détend. Son souffle redevient lent, profond.

  • « Merci… de m’avoir écoutée. Tu peux y aller. Je suis à toi. »

Je la regarde.

  • « Tu es sur. »

Elle hoche la tête. Ses paupières se ferment, sa voix descend d’un ton, plus grave, plus nue.

  • « Vas-y… maintenant je te veux… tout. »

Je reprends. Elle m’accueille. Lentement. Je m’enfonce, centimètre par centimètre dans la pénombre de son anus. Elle gémit. Son visage se crispe. Son corps tremble. Mais elle ne recule pas. Elle encaisse. Elle tient.

Je m’installe. Mon bassin commence à frapper doucement ses fesses. Les mouvements gagnent en cadence. En force. Je sens que je touche presque le fond. Mes coups deviennent plus francs, plus profonds. Je suis au maximum. Entièrement en elle.

Un claquement net rythme le va-et-vient. Le choc de mon corps qui s’écrase contre ses fesses, encore, encore.

Elle attrape ses fesses, les écarte d’elle-même. Elle m’offre tout, sans retenue.

Et ce geste pousse mon sexe encore plus loin en elle. Je sens ma verge s’enfoncer jusqu’au fond.

Elle crie.

Je bute contre une paroi profonde. Peut-être le fond du rectum, ou un point sensible. Elle grimace, halète, mais ne me repousse pas. Au contraire, elle arque le dos. Elle en redemande.

Ses expressions se mélangent : grimace ou sourire, douleur ou extase. Mais dans ses gémissements, dans son corps qui tremble, il n’y a aucun doute : elle prend son pied. Totalement.

Elle gémit fort, rauque, sans filtre. Je la sens se perdre, se tendre, se livrer.

Moi aussi, je ne contrôle plus rien. Ma voix monte. Je grogne. Je hurle. Et puis, au creux de ce chaos charnel, je sens la vague venir. Je suis prêt à lâcher. À exploser.

  • « Arrête… arrête ! »
  • « Quoi ? Je t’ai fait mal ? »
  • « Non… »

Elle se tourne, à quatre pattes, le visage vers moi, les lèvres entrouvertes, le regard chargé.

  • « Vite… vite… j’ai envie de bouffer ta queue. »

Trop tard. J’avais déjà joui.

Elle baisse les yeux, fixe ma queue à moitié ramollie. La capote, gonflée, pend, lourde, pleine. Elle rit. Une grimace curieuse sur le visage.

  • « C’est quoi cette tache brune, là ? »
  • « D’après toi… merdeuse.

Elle grimace, se recule un peu.

  • « Beurk… ma merde… »
  • « T’inquiète. J’enlève la capote. Tu vas la goûter nature. »

J’ôte la capote lentement, poisseuse, tiède, gorgée. Je l’enroule dans un mouchoir, la pose sur la table de chevet.

Je m’avance vers elle. Ma queue, molle mais luisante, se balance entre mes cuisses. Elle est au bord du lit, la bouche grande ouverte, langue sortie comme une affamée.

Je pose ma queue sur sa langue. Elle referme les lèvres autour. Tète doucement. Puis marmonne, la bouche pleine :

  • « Elle… est… toute… molle… »

Je souris.

  • « Montre-lui pourquoi il doit revenir. »

Effectivement, au bout de quelques minutes de coups de langue, sa bouche pulpeuse l’a bien redressée.

Pas d’hésitation : elle l’avale profond, gorge ouverte, salive chaude. Ses doigts appuient sur mes couilles, pressent pour faire monter le jus. Je le vois à son visage, à la manière dont elle me regarde, elle aime ça. Elle aime sucer, elle aime goûter. Elle aime bouffer mon sperme.

Je la sens maîtrisée. Contrôlée. Et prête. Son corps vibre pour un deuxième tour. Je retire doucement mes mains de sa tête, qui la guidaient dans chaque gorge profonde.

Je lui glisse, bas :

  • « Allez… deuxième round. »

Elle libère ma queue. Reste à quatre pattes. Se retourne d’un mouvement fluide, animal. Puis recule jusqu’à ce que ses fesses touchent ma queue.

  • « Ah non… pas dans le cul… »

Je souris. Je me cale contre elle.

  • « T’inquiète, cochonne…  Maintenant, c’est ta chatte qui va prendre. »

Je la pénètre d’un seul coup. Rapide. Profond. Elle hurle. Pas de douleur — de surprise. Mon sexe s’enfonce loin, glissant dans ses sécrétions. Son corps s’est préparé, huilé, détendu.

C’est le choc, l’onde immédiate du plaisir, qui lui arrache ce cri.

Mon bassin s’élance. Va-et-vient. Fort. Régulier. Sa chatte encaisse chaque poussée comme une décharge. Elle gémit, se cambre, crie à chaque impact.

Son dos se tend, ses jambes vacillent. Elle se dérobe un instant. Mais je la retiens par les hanches. Elle ne s’échappera pas. Pas maintenant. Pas là.

Je me penche, ma voix basse contre sa peau :

  • « Reste… sens-moi… »

Elle tente de fuir encore. Ma queue ressort. Je la rattrape. Je la reprends. À chaque tentative, je la rattrape. Le rythme devient plus rapide. Plus féroce. Brut. Animal. Je donne un coup plus fort.

Mais dans l’élan, ma queue dérape, glisse d’un angle. Et d’un seul coup, elle s’enfonce dans son anus.

Elle hurle, surprise.

  • « Oooh… non ! »

Mes mains restent fermement posées sur ses hanches. Je la maintiens, je continue. Son souffle se brise. Court. Chargé. Elle halète. Ses yeux mi-clos brillent d’un mélange d’excitation et de panique. Son corps tremble. Ses jambes s’agitent, son dos se cambre.

Elle cherche ses mots.

  • « Putain… zut… »

Puis d’un coup, plus fort :

  • « Camembert ! Camembert ! »

Je me retire immédiatement. Son corps s’effondre sur le lit, ses bras glissent sous son ventre, recroquevillée.

Je m’approche, inquiet, les mains ouvertes, le souffle bloqué.

  • « Ça va ? Je suis désolé… Tu vas bien ? »

Elle tourne la tête vers moi. Ses joues sont rouges. Elle sourit, encore sous le choc.

  • « J’ai le cul en feu… »

Puis elle rit. Nerveuse d’abord, puis franchement.

  • « J’arrivais plus à retrouver le mot magique… Quelle idée de choisir Camembert … J’en mange jamais ! »

Et là, elle éclate de rire. Vraiment. De bon cœur. Et moi aussi.

 

Soulagé, je me couche à côté d’elle. Ma main glisse doucement sur son dos.

  • « Je suis vraiment désolé… J’espère que tu ne m’en veux pas. »

Elle secoue la tête, tendrement.

  • « Non. T’inquiète. C’était intense… Une bonne expérience. J’ai joui. Et toi ? »

Je hoche la tête. Je la regarde, longtemps.

  • « Oh oui… C’était fou. Merci de m’avoir laissé entrer… »

Je me penche. Et je l’embrasse. Longuement.

Elle s’allonge, maintenant exténuée.

Puis se tourne vers moi, me désigne du doigt avec un sourire en coin. Sa voix, calme, mais chargée de revanche :

  • « T’inquiète… la prochaine fois, c’est moi qui choisirai la position. Et l’action. »

Je vois son regard qui s’illumine. Elle imagine déjà. Son sourire s’élargit.

  • « Dis-moi… tu préfères les petits calibres ou les gros ? »

Je la fixe, intrigué.

  • « Pourquoi ? »

Elle se lève, nue, encore vibrante. Puis, sans se retourner, elle lance par-dessus son épaule :

  • « Tu verras bien demain… une fois que je serai passée à la boutique de sextoys. »

 

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